Olivia Loreens

Personnage

Fiche d'Identité

• Nom : Olivia
• Prenom : Olivia
• Surnom # : Olie


• Qualités + Defaults : Le caractère de Olivia est très modifiable, ses envies sont très changeante, Olivia est la réincarnation même de quelqu’un de lunatique…Doublé d’une charmeuse…
A vrai dire, Olivia aime à être ainsi et ne changera jamais, on a énormément de mal à savoir ce qui va se passer en présence de Olivia ce qui fait qu’on aime beaucoup quand elle est là, un petit truc de stress nait dans l’atmosphère tout comme Olivia est capable de la détendre avec une grande facilité.

Quoi qu’il en soit, Olivia est lunatique, terriblement lunatique, elle peut changé d’envie d’une seconde à l’autre, c’est assez difficile de savoir ce qu’elle a réellement envie sur l’instant, tantôt elle voudra jouer aux échecs, la seconde qui suit, elle va vouloir charcuter un patient a coup de bistouri. C’est ainsi et les gens la supporte ainsi. Parfois c’est ennuyant, d’autre fois, c’est amusant.

La vie l’ennuie, Olivia ne trouve pas de but concrets à sa vie, elle veut simplement dépassé tout le monde, elle relève tout les défis, Olivia est une battante et Olivia est une gagnante ! Quand elle souhaite quelque chose, elle fera tout pour l’obtenir, ce qui en soit peut être bon comme mauvais.

En dehors de cela, son caractère est fort apprécier dans l’ensemble.
Dans l’ensemble, Olivia est une jeune fille toujours sérieuse, posée, réfléchis et concentrée, cependant…Elle se lasse de tout très rapidement, il est assez difficile de la garder intéressée en quelque chose ce qui fait qu’en tant que la médecine était un métier rêvé pour elle, même si bien évidemment, elle préfère les cas bien étrange et spécial.

Rusée, ambitieuse, c’est là les deux plus grande qualité de la jeune demoiselle, réfléchis et un peu à l’écart de tout…Sa lui permet d’avoir une tout autre vision de certaine chose ce qui en soit est loin d’être mauvais, ça peut parfois aider.

Elle parle jamais d’elle et personne ne remarque ça.

En conclusion, Olivia paraît donc une personne particulièrement sérieuse et coincée et tout et tout mais en réalité elle peut se montrée tout autre. Elle prend votre confiance, en prendra grand soin mais si elle vous venez à lui faire un coup bas, elle prendra la vengeance et elle n’hésitera pas. Tous ce qui compte c’est ce qui la profite à elle. Ni plus ni moins, les autres peuvent crevé
• Histoire :
Il était une fois, dans un village se situant dans les côtes est de l’Amérique, un jeune couple heureux. Ceux-ci venait de donner naissance à une petite fille qu’ils nommèrent Olivia. C’est ainsi que comme ce gentil petit conte de fée…
Dans cette famille, le bonheur respirait à plein poumon, la chaleur remplissait leur foyer et la petite grandissait dans ce bonheur qui la faisait sourire à tout moment de la journée. Ces instants passés en présence de ses parents furent certainement les instants les plus heureux de sa vie…Dommage qu’aujourd’hui Olivia ne puisse plus s’en souvenir…

Vous trouvez que cela est bien joli ? Et bien, vous avez raisons, leur bonheur continuait d’année en année, la petite grandissait et s’épanouissait dans cet amour qui en aurait fait pâlir de jalousie plus d’un enfant, le couple semblait s’aimer sincèrement et s’occupait avec une très grande attention de leur fille. Dans le village, ils étaient vus comme l’exemple même d’une famille bien élevée et heureuse, mais dans tout tableau se cache une tache noire, quelque chose qui changera cette vie…C’est le juste équilibre des choses…Autant de bonheur se doit de s’égaliser avec la même dose de malheur…C’est triste à entendre, mais c’est ainsi que la vie marche…Non ?

Olivia était âgée de dix ans quand sa vie changea du tout au tout. Elle était dans un taxi avec sa maman, lui tenant la main doucement, elle avait les yeux fermés pour apprécier les douces caresse que sa mère faisait dans ses cheveux. Aujourd’hui, sa mère honorait une promesse qu’elle avait faite à sa fille un jour plutôt, elle lui avait promis d’aller en ville lui acheté un nouvel ours en peluche –ours qu’elle a toujours à ce jour–
Ce fut sur le chemin du retour que la demoiselle c’était endormie ainsi dans les bras de sa mère, la main de celle ci dans la sienne, sa peluche dans ses bras, son visage contre les genoux de cette douce maman et la deuxième mains de sa génitrice se posant sur sa tête pour caresser ses longs cheveux noir.

Un coup sec de frein, des secousses, des hurlements, plusieurs bruit indescriptible, Olivia n’avait même pas eu le temps de se réveiller. Elle sent une chaleur intenable autour d’elle, elle ouvre les yeux un instant, elle est en dehors de la voiture…Des médecins l’entoure, elle voit au loin le taxi retourné, la main de sa main sortant de la vitre brisée, elle hurle des mots en regardant sa fille droit dans les yeux, Elle ne comprend rien, elle n’arrive pas a comprendre, jusqu’à ce que la voiture jaune explose envoyant dans les airs des débris de la voiture et des flammes montant vers les nuages…Elle ferme les yeux…

Quand elle les rouvre, ce fut deux jours plus tard, elle se trouve dans une chambre, le seul son qu’elle entend pour le moment est celui qui est au rythme de ses battements cardiaque : « Bip…Bip…Bip… »
Elle observa à sa droite, à sa gauche, face à elle, une ombre se forme, quelque chose de flou qui prend de plus en plus de netteté. Elle reconnaissait cette silhouette carrée d’un homme, son père, celui-ci l’observe, les yeux pleins de larmes…Et sans s’en rendre conte, Olivia se met-elle aussi à pleurer silencieusement, l’image de sa mère lui revenant en tête…L’explosion…La mort…

Elle entendit son père prononcé son prénom :

« Olivia »

Ses yeux glissèrent vers le regard larmoyant de son père, elle sourit légèrement tout en pleurant, son père se lève et se dirigeait vers elle prenant sa fille dans ses bras, la serrant contre lui, lui faisant comprendre par ce geste qu’elle était tous ce qu’il lui restait au monde. Cette famille si heureuse venait de connaître le plus grand tournant de leur vie paisible, la mort de cette femme amoureuse de famille fut un tragique moment à passé pour le père et sa fille mais aussi pour le village entier qui admirait cette famille comme étant le symbole même du bonheur et de l’union familiale.

Olivia sortit de l’hôpital le jour ou sa mère fut entourée, à l’enterrement, habillée de noir, ce fut la seule couleur qu’elle se permettait de mettre à partir de ce jour, du noir…
Elle tenait la main de son père quand le cercueil descendait vers la terre, le curé du village contait l’histoire de leur mère, ses dons, tous ce qui avait fait d’elle une femme irréprochable, une mère exemplaire, une épouse adorable…Ce jour là, le soleil était dégager, les oiseaux chantaient sur les arbres qui environnait le cimetière et Olivia pleurait en silence la disparition de sa mère alors que le soleil séchait déjà ses larmes avant même qu’il ne puisse glisser jusqu’à ses lèvres.
C’était comme si sa mère était toujours à ses côtés pour essuyer ses pleures…

Le temps passait petit à petit, le père resta très longtemps en deuil et la jeune enfant ne semblait pas vraiment en sortir, ne s’habillant que de robe noire…Mais pourtant, son sourire revenait petit à petit, ne quittant plus l’ours en peluche qui fut le dernier souvenir de sa mère.
Ce fut un jour comme les autres, un an c’était écoulé depuis la mort de sa mère, Olivia rentrait de l’école, sa peluche en main, elle cherchait après son père dans la maison.

« Papa ? Tu es où ? »
« Dans le salon Olivia… »

Sa voix était étrange et Olivia avait directement pris peur, serrant sa peluche en main, le ton de son père était celui qu’il utilisait quand Olivia avait fait une bêtise et pourtant, elle avait beau essayer de se remémoré tous ce qu’elle avait fait ses derniers jours, elle n’avait pas fait de bêtise, il n’y avait rien à lui reprocher. Cependant, elle s’aventura dans le salon, son père était debout, face à la cheminée, caressant de ses doigts le verre du cadre contenant une des photos de sa femme décédée.

« Sais-tu ce que tous ça veux dire Olivia ? »

Elle releva la peluche dans ses bras, le visage de l’ours contre le sien

« Olivia…Olivia…»

Olivia n’avait jamais compris pourquoi sa mère l’avait nommé ainsi, au son de la voix de son père la petite c’était mis à tremblée, reculant de plusieurs pas. Son père tenait le cadre de sa mère entre ses mains, observant sa fille avec une lueur étrange dans ses yeux, l’enfant ne savait que faire, serrant cette peluche dans ses bras.

« Lâche cet ours »
« Non »
« LACHE LE ! »

Elle sursauta, et la peluche heurta le sol, couché contre celui-ci, la suite fut d’une violence extrême, l’enfant reçu en premier le cadre sur le visage, le verre se brisa…Une gifle claqua, les cris de la petite retenti, le père criant par dessus, hurlant sur sa fille que tout cela était de sa faute…Si elle n’avait pas été, sa mère n’aurait jamais disparut et il aurait pu continuer à aimer, à être amoureux, à être heureux. La petite pleurant sous les coups de son père se faisant de plus en plus violent, de plus en plus douloureux…
Quand il fut lasser de s’acharner sur la gamine, il la laissa pleurer sur le sol de ce salon, sa main contre son ventre, elle gémissait de douleur, regardant la photo de sa mère sur le sol :

« Ma…man… »

Elle ferma les yeux doucement, se réveillant dans son lit plusieurs heures plus tard, son père l’avait ramenée dans sa chambre apparemment, elle observait la peluche qui se trouvait à ses côtés, serrant cet ours contre ses bras. Son père couché à ses côtés observait sa fille dormir depuis tout à l’heure, il semblait l’avoir soigner de ses blessures, il regardait son enfant se réveiller et il posa une main très douce sur le visage de Olivia, lui souriant comme il avait l’habitude de le faire quand il était à ses côtés, les yeux pleines de larmes, son père murmura entre des sanglots :

« Pardonne-moi… »

[ Ca me dit que c'est trop long, je dois faire ça en double post, désolé -_- ]

Il serra délicatement l’enfant dans ses bras, Olivia faisant confiance à son père, elle sombra doucement dans ses rêves, restant ainsi dans les bras de son père, tous deux passèrent la nuit ainsi ensemble, l’un dans les bras de l’autre. Le matin se leva et les journées passèrent ainsi dans le bonheur des autres jours.
La petite ne semblait pas se rendre compte que tout cela n’était qu’un commencement…

Deux semaine plus tard, elle se trouvait dans son bain, se lavant doucement, sa peluche posée sur la cuvette des wc, elle jouait avec l’eau avant que son père ne rentre dans la salle de bain, observant sa fille avec cette même lueur dans les yeux, elle observait son père, ne comprenant pas tout de suite ce qui allait se passé…Elle n’eut le temps de réagir, les mains de son géniteur c’était posé sur sa gorge et l’avait directement poussé sous l’eau, les yeux grand ouvert elle voyait la surface à travers l’eau et la mousse, ses yeux lui piquaient et les larmes se diluait dans cet eau…
L’air commençait à lui manquait quand son père la tiré du bain, la serrant à nouveau dans ses bras, en pleure, sanglotant, il ne cessait de murmurer des excuses que la demoiselle accepta une nouvelle fois…Pensant que tout cela était de sa faute et que c’était à elle de changer.

Et pourtant, tous les deux semaines environs elle recevait les pires sévices de son père, coups, blessure, étranglement, et ce fut à chaque fois pareilles malgré les changements que l’enfant essayait de faire, elle avait carrément arrêter de porter du noir, recommençant à s’habiller comme au temps ou sa maman était encore vivante mais cela ne semblait rien changer, bien au contraire, à chaque fois elle recevait pire que l’autre fois, la demoiselle était perdue et plus elle grandissait, moins elle faisait confiance à son père, devenant une simple poupée de chiffon que l’on secoue dans tous les sens quand celui-ci avait ses crises…Ne répondant plus à ses excuses, ne changeant plus rien, s’habillant à nouveau de noir, commençant doucement à s’exclure des autres…

Les années passèrent et elle subissait les coups sans plus rien dire, pleurant en silence la disparition de sa mère, priant un Dieu qui ne semblait pas vouloir écouter ses prières et ses pleures. Elle avait quatorze ans aujourd’hui et sa façon de s’habiller était devenue de plus en plus effrayante, s’affirmant petit à petit dans sa manière de penser et de voir le monde extérieur, aujourd’hui, elle était silencieuse, entourée de deux seules personnes, deux garçons avec qui elle formait un groupe de musique, deux garçons qui ne se doutait qu’un minimum de ce que pouvait vivre quand elle rentrait de ses répétitions avec le groupe.

Mais les sévices changèrent, la petite Olivia ressemblait de plus en plus à sa mère, elle était coucher dans son lit quand elle entendit la porte de sa chambre s’ouvrir et le pas furtif et discret de son père, se préparant déjà à recevoir des coups, cependant, il ne fit que s’asseoir sur le lit, il observa sa fille et commença à lui parler :

« Je veux changer… »

Le cœur de Olivia se mit à battre, sa façon de parler semblait si sincère et au fur et a mesure qu’elle l’écoutait, elle y croyait, offrant à nouveau sa confiance à son père, celui-ci posa ses yeux dans ceux de sa fille, une main sur sa joue, il lui souriait comme il souriait autrefois, ses yeux contenant des larmes qui s’apprêtait à glisser sur sa joue mais Olivia se releva, s’asseyant sur son lit, elle essuya de ses petits doigts les larmes de son père et lui souria à son tour. L’homme déposa un premier baisé sur le front de fille, un second sur joue, un troisième à la nuque, il posa ses mains sur les épaules de Olivia qui recevait ses baisés sans réellement comprendre ce qui l’attendait.

Son père compressa ses épaules entre ses mains et Olivia plissa des yeux, gémissant entre ses lèvres :

« Tu…Me fais…Mal, papa… »

Mais à cet instant, il plaqua sa fille contre le lit, l’ours en peluche glissant du lit, heurtant le sol dans un bruit sourd alors que son père offrait à sa fille les pires choses qu’on pouvait offrir, s’imaginant que cet enfant était la femme qu’il avait aimer…Le lendemain matin…Olivia semblait autre part, blanche comme un linge, elle ne disait rien…

Ce fut lors de la répétition qu’elle tomba sur ses genoux, se mettant à pleurer, la seule personne étant présente était son amie Elryon…L’un des deux membres du groupe auquel elle faisait partie, celui-ci avait voulut prendre Olivia dans ses bras mais elle l’avait empêcher en le rejetant brutalement. Face à ce geste, Elryon recommença et obligea Olivia à se retrouver dans bras, ce fut au bout de plusieurs minutes de luttes que la jeune fille se laissa faire, pleurant contre l’épaule de son amie qui semblait deviner à l’avance ce qui arrivait à la petite Olivia car il prononça ses paroles :

« Un jour tout ça cessera… »

Elle avait seize ans quand elle raconta enfin à Elryon ce qu’elle subissait depuis le début de son enfance, le garçon n’avait pas réagis mais trois jours plus tard, Olivia en rentrant chez elle, reçu la plus violente des gifles que son père et pu lui donner

« COMMENT A TU OSÉ ! »

Olivia releva la tête, elle ne comprenait pas, son père lui fit alors comprendre dans ses hurlements que Elryon était venu le voir pour le menacer de tout dire à la police s’il n’arrêtait pas de faire souffrir son amie Olivia. Sur le coup, la demoiselle c’était senti trahit car ce qui allait lui arriver semblait beaucoup plus violent que d’habitude, elle c’était alors décidée de ne plus se laisser faire, se relevant, elle fonça directement sur son père le faisant tomber au sol. Elle s’encourut directement vers la cuisine, son père la rattrapant la fit tomber sur le carrelage de la cuisine, son nez saignait sur le choc de sa tête au sol…

« OLIVIA ! »

C’était la voix de Elryon, elle avait retentit à l’instant ou quelque chose pénétra dans le corps de l’adolescente, le sang se répandant autour d’elle doucement, la police était présente, le père fut emmené et enfermé alors que la demoiselle fut amenée à l’hôpital.

Les jours passaient petit à petit dans l’hôpital et plus les jours passaient, plus la demoiselle souhaitait disparaître. Ce fut un matin comme un autre qu’elle se leva de son lit d’hôpital pour se diriger vers la fenêtre. Observant le ciel avec cette douce sensation à nouveau de vouloir disparaître. L’infirmière rentra…
Derrière elle, se trouvait une femme et un homme, tout deux d’âge mûre. Il ne s’agissait pas de ses grands parents, ni même d’un oncle ou autre.

« Olivia…Tu va vivre avec eux à présent…M. et Mme. Hastings, ils sont venu te cherché… »

Ses affaires étaient prètes, elle n’était pas réellement enchantée, prenant son sac…Elle s’avança vers eux et se dirigèrent vers la sortie de l’hôpital. A la porte de celle-ci, se trouvait Elryon qui attendait patiemment depuis plusieurs minutes…Tout deux savaient que c’était la dernière fois qu’ils se verraient…
C’est sur des adieux déchirant et sur une Olivia suppliant de ne pas la laisser partie qu’ils se quittèrent, en route pour le Texas…

Elle y passa le reste de son adolescence, terminant ses études et continuant à en faire, enfant facile certes mais extrêmement renfermée, Olivia parlait peu et lorsqu’elle ouvrait la bouche c’était pas pur cynisme. Pour des raisons que l’on ignore, elle décida de faire des études en chirurgie, durant ces études, elle fit la connaissance d’un certain Alex, son premier époux et son premier divorce aussi…Quelque mois après le mariage d’ailleurs. Olivia n’aimait pas l’ennuie.

Aujourd’hui, elle a tout laisser derrière elle, déménageant du Texas pour pouvoir poursuivre d’autres études mais surtout, pour pouvoir faire son internat autre part que là-bas. C’est au Seattle Grace Hopital qu’elle souhaitait y finir ses études…Pour une raison qui ne regardait qu’Olivia.

• Physique : Olivia est assez exantriques, ses cheveux, tel que sa mère, sont aussi long que les siens à son âge…Il lui arrive au niveau des épaules mais à la différence de sa mère, Olivia a des cheveux très légèrement ondulés.

Les yeux de Olivia sont une porte à son âme, sauf quand celle-ci a décidé de fermer cette porte avec trois autres portes blinder a triple code à chiffre…Cette façon d’avoir des yeux aussi brillant permet de capter plus d’un regard et de pouvoir ainsi garder l’attention tournée sur elle.
Ses iris sont coloré d’un vert pétant, le contour de la pupille est un rien plus foncé, ce qui offre un regard très particulier à Olivia

La forme du visage de Olivia est assez doux, les traits et les contours sont fins ce qui offre une certaine gentillesse a cet être, son visage exprime un peu près de tout, avant tout une certaine sévérité, elle reste toujours très sérieuse mais fort heureusement, elle a hérité de son père un sourire fin et léger qui parfois apparaît quand on s’y attend le moins.

Le visage de Olivia offre une gamme d’expression fort intéressante, allant du sérieux à l’amusant…Quand elle est triste, habituellement ses yeux brillent plus que d’habitude et ses joues sont un rien plus rosée, ses lèvres déjà fort pulpeuse sont légèrement entrouverte et on peut entendre le souffle léger de sa respiration.
Quand elle est en colère ou d’humeur boudeuse, Olivia inspire de l’air et au moment de le soufflé, elle gonfle ses joues qui devienne assez rouge, ses yeux sont emplit d’une lueur étrange et indescriptible, habituellement, il y a deux stade, soit ses yeux garde leur brillance habituelle…Dans ce cas là, elle ne fait que bouder…Dans l’autre cas, ses yeux perde toute brillance et là…Vaut mieux ne pas être à côté.
Mais habituellement, on a toujours le droit à un visage peu souriant, sérieux et très stricte.
Lors des instants sérieux, l’éclat de ses yeux s’effacent, laissant alors face à des traits de visage assez grave.

Elle a hérité de la taille de son père, elle est assez grande et possède ce que l’ont appelle une taille mannequin…De longue jambe assez fine, des courbes parfaitement dessiné mais faut pas croire que Olivia est parfaite, elle ne plaira pas a tout le monde même si elle possède de jolis atouts physique, encore faut-il savoir les mettre en valeur…Assez mince, la jeune fille n’en est pas pour autant maigre, elle possède une très fine musculature car oui…Olivia fait attention à son physique.

Sinon, elle porte toujours une gourmette autour de son poignet droit, à l’intérieur il y a son nom, son prénom et sa date de naissance…Souvenir de famille très important
• Love: Il lui arrive encore de penser à Elryon…
• Groupe: Interne 1er année
• Service: Urgence
• Lien avec Grey's Anatomy: Aucuns…


Vous

• Prenom #: Julie
• Age #: 18 ans
• Avatar : Olivia Wilde
• Comment as-tu connu le forum: Google est ton ami…
• Que penses-tu du forum: Superbe ^^
• Et de son design: Très chaleureux
• Nombres de jours présent sur le forum: 5/7
• Niveau de RP: Bah…J’en fais depuis l’âge de 7 ans…
• As-tu deja jouer sur un RPG: Plus d’un…
• Code d'activation: Grєy-s-Anαtom

Bienvenue !
Je pense que c'est bon. Tu es validée. N'oublies pas les 5 lignes minimums et Good RP

Je risque pas d'oublier ^^

Merci à vous ^^

Bienvenue

Merci beaucoup

Merci Kate ^^

Olivia Loreens a écrit:

Merci beaucoup

Mais deriens, je suis persuadé que tu vas te plaire sur le forum !

Bienvenue

Merchi beaucoup les gens ^^