Premier pas au Seattle

Liz se laissa faire en silence. Elle fut heureuse d'apprende que tout allait bien. Elle allait peu être avoir une journée sans problèmes et sans crises c'était rare et ces journées Liz en profitait au maximum. Elle dit en se rhabillant et en souriant au jeune homme.

"Et profiter de ma journée en dehors de ses murs. C'st en effet une très bonne nouvelle."

Liz était vraiment heureuse. Les journées comme celle ci elle pouvait les compter sur ses doigts. Elle ajouta au bout d'un moment

"Merci."

Liz trouvait Uliss vraiment très gentil. Il n'était pas comme tout les autres titulaires qui lui trouvait sans arret quelques chose ainsi que des prétexte pour faire d'autres examens. Elle ajouta en souriant

"Merci beaucoup."

Le labradore s'approcha de Liz et d'Uliss. Il s'assit à coté de la jeune femme

Liz finit de se rhabiller. Le chien resta assit à coté d'elle. Elle plongea un instant dans le regard de celui ci. Même si parfois elle peinait à supporter ce spécimen à fourure elle devait avouer qu'elle s'y était attaché. Elle dit en entendant les paroles du jeune homme

"Oh oui beaucoup mieux. Sans compter que j'ai passer plus de jour enfermer ici que dehors. Alors j'ai bien l'intention d'en profiter."

Liz fit un petit sourire au jeune homme. Celui ci parla à nouveau. Il fit allusion au chien. Liz dit tout en souriant

"De toute manière ce chien est pire que ma mère il est toujours sur mon dos. Mais je l'aime bien quand même"

Liz sortit un élastique de sa poche et s'attacha les cheveux en une longue queue de cheval afin de lui dégager le visage

Liz écouta les paroles du jeune homme. Celui ci parlait d'une voie calme. Il avait raison. On ne pouvait pas faire autrement que de s'attacher au chien. Liz dit au bout d'un moment

"C'est vrai on ne peut pas faire autrement. Quoi que les premiers temps j'ai eut du mal car ce chien est allergique à la nourriture faite maison il mange que des croquettes."

Liz n'avait jamais été habitué à acheter des croquettes avant et elle devait admettre que les premières fois elle ne savait pas vraiment quoi choisir. Elle ajouta

"Le problème c'est qu'il existe pratiquement autant de sorte de croquettes que de sortes de bonbons."

Liz fit un petit sourire à son interlocuteur avant d'ajouter

"J'ai galérer à trouver des croquettes qui lui..."

Liz laissa sa phrase en suspend. Sa douleur à sa poitrine commençait à se réveiller peu à peu. Elle ajouta entre les dents

"Lui convenait."

Liz ferma les yeux. Elle devait se calmer et oublier la douleur comme elle avait apprit à le faire depuis toute petite. La voie du jeune homme raisonna dans sa tête. Morphine? De la morphine. Non Liz ne pouvait pas en prendre. Elle dit au bout d'un moment

"Non pas de morphine. Accélère le coeur."

Liz savait que la morphine accélérait son coeur et l'arrêtait par la suite brutalement. Elle en avait déjà fait les frais après la première greffe et elle ne tenait pas à se que sa recommence. Elle ajouta entre ses dents

"Passer tout seul pas de morphine."

La douleur diminuait et augmentait. Liz pouvait sentir les perles de sueur apparaitre sur son front. Peu à peu la douleur diminut sans disparaitre. Liz dit entre les dents

"Sa passe c'est entrain de passer"

Liz ne voulait pas que le jeune homme s'inquiète pour elle. Non elle ne le voulait pas.

Liz ferma un instant les yeux en sentant la douleur augmenter de nouveau. La voie du jeune homme se fit de nouveau entendre. Liz dit au bout d'un moment d'une vie plus ou moins haché

"Pas si cher que ça... De toute manière à l'heure actuelle je ne devrais même... Même pas être ici mais sous terre..."

Liz savait que théoriquement elle aurait dut mourir avant ses 5 ans mais grace au soutien de plusieurs persones elle avait apprit à se battre. Elle ajouta

"Alors par pitié... Arrêter de dir que... C'est votre faute..."

Liz rouvrient les yeux et plongea son regard dans celui du jeune homme. Elle ne voulais pas que celui ci se sente responsable ça arrivait à tout le monde de faire des erreurs même à elle. Soudain sa vue commença à se brouiller légèrement. Elle ferma et rouvrit les yeux plusieurs fois de suite. La douleur devenait de plus en plus lancinante.

Liz essaya de se focaliser sur autre chose que sa douleur. Elle devait admettre que cela n'était pas une chose aisé mais elle n'avait pas l'intention d'abandonner. Elle entendit la voie d'Uliss. Liz dit entre les dents

"Ne pas paniquez s'il vous plait."

Liz n'avait jamais aimé la panique autour d'elle. Elle sentit une main sur son visage qui était emplit de sueur froide. Elle ajouta

"Et je n'ai pas l'intention d'abandonner loin de là."

Liz avait l'impression que tout tanguait autour d'elle. Peu à peu tout devint noir. Elle sentit ses jambes se dérober sous elle. Elle s'écroula par terre avant que le jeune homme est eut le temps de réagir. Sa tête cogna le sol dans un bruit mat.

Liz avait l'impression d'avoir été plongé dans un baquet d'eau complètement glacé. Impossiblé de faire un mouvement. De loin elle entendit des bruits autour d'elle. Peu à peu la sensation disparut. Elle ouvrit lentement les yeux. Elle les referma presque immédiatement en recentant une douleur lancinante au niveau de la tête. Elle dit entre ses dents

"Qu'est se qui c'est passé?"

Liz devait avouer qu'elle n'avait pas les idées très claires. Elle rouvrit les yeux et plongea son regard dans celui d'Uliss. Elle ajouta

"Ma tête."

La douleur à sa poitrine c'était atténué elle avait moins mal.

Carla qui se trouvait dans le service de cardiologie était entrain de s'occuper d'un patient qui venait d'arriver. Heureusement pour elle, il n'était pas trop souffrant. Elle l'installa dans un lit et commença faire les petits examins de routine. Au bout de longues minutes, elle entendit le téléphone sonner. Elle posa son regard dessus, mais n'y alla pas tout de suite car normalement c'était au chef de répondre. Mais après une longues minutes, le téléphone continuait de sonner. Elle s'excusa auprès de son patient et alla répondre. Elle écouta se qu'on lui dit et répondit qu'elle arrivait tout de suite. Elle retourna vers son patient et lui expliqua la situation en quelques mots. Ensuite elle alla dans le hall et chercha du regard le médecin qui avait besoin d'elle. Carla le repéra bien vite. Une fois à ces côtés, elle posa son regard sur la personne qui se trouvait par terre et s'accroupit.

Que c'est-il passé ??

Avant qu'Uliss ne répondent à ses questions Liz vit arriver une jeune femme. Elle ne l'avait jamais vu auparavant. Elle devait être nouvelle. Uliss répondit à sa question. Liz hocha lentement la tête. Elle dit entre les dents

"Génial. Mi qui avait espéré une journée sans crise."

Le labradore était resté assis dans un coin. Il s'avança et se planta derrière la jeune femme. Il commença à grogner. Liz ajouta entre ses dents

"Coucher Vidoc. Il va me rendre zinzin ce chien"

Liz ferma un instant les yeux. La douleur à sa poitrine était toujours présente ainsi que sa douleur au crane qui ne faisait qu'accentuait son exaspération face au grognement du chien

Clara était toujours à côté du médecin et son regard était posé sur la jeune femme allongée par terre. Elle posa ensuite son regard sur le médecin quand celui-ci reprit la parole. Elle hocha positivement la tête. Elle replaçaune de ses mèche de cheveux derrière son oreille et reposa son regard sur la jeune femme. On pouvait vraiment voir qu'elle souffrait toujours.

Je vais l'emmener tout de suite au scan et je vous apporte les résultats dès que je les aient...

Elle avança gentiment vers la jeune femme et essaya de le releva avec difficulté. Pour le moment elle la mit assise et alla rapidement chercher un fauteuil pour pouvoir mieux la transporter car elles avait qu'elle na'rriverait pas à marcher jusqu'à la salle d'examins. Quand elle asseya la jeune femme, elle posa rapidement son regard sur le chien.

On fait quoi du chien de la jeune femme ??

Liz se retrouva rapidement assise dans un fauteuil roulant. Elle avait l'impression d'être complètement ensuquer. La voie D'uliss raisonna à nouveau. Celui ci lui cala le labradore entre les jambes. Liz ferma un instant les yeux et les rouvrient. Elle dit entre ses dents

"C'est obligé?"

Liz n'avait rien contre vidoc mais celui ci avait tendance à l'ennervé quand il se mettait à aboyé en sentant qu'elle allait mal. Elle ajouta entre ses dents

"Le chien je parles du chien."

Liz ferma à nouveau les yeux. Sa vue n'était pas vraiment ne et elle commençait à voir flou