Rose Gabrielle Lorence-DesJardins

Voilà. C’était ce matin-ci qu’Absynthe Dawn quittait Poudlard pour Beaubaton. Certes, la verte et argent avait déjà perdu la confiance et l’estime de Dominique quelques mois auparavant en la trompant avec ce Serdaigle Klaus. Mec qui ne pouvait pas s’empêcher de coucher avec tous semblerais t’il. Depuis qu’elle l’avait sue, Dominique n’avait pas été capable de le pardonner entièrement à son amour. Plus le temps passait plus les deux semblait s’éloigner. Dominique était devenu distante la fuyant presque. Alors la fée verte pour le bien des deux, avait décidé de suivre ses parents en France. Pour la rousse, c’était un peu comme perdre son premier amour une deuxième fois. Car bien sûr le fait d’apprendre son infidélité avait, sur le coup amené bien des disputes. Pourtant, l’amour que Dom’ portait à sa fée verte n’avait jamais disparue. La voir partir ce matin même l’avait fait pleurer. La poufsouffle avait eu la permission d’y être. Les deux filles avaient échangées un dernier baiser, avait brisée leur amour car Dom ne croyait pas en l’amour a distance et Absy le savait bien. La serpentard avait cependant promis de lui écrire des lettres de temps en temps et de rester amie. Le regard rougit, elle avait regardé sa désormais amie partir en train pour sa prochaine destination.

Pour un dimanche, la journée commençait bien mal. Toujours en pyjama, de peurs de ne pas voir le départ d’Absynthe, Domy n’avait pas prise le temps de se préparer. La rousse, après être resté encore penaude un moment devant l’endroit de ou elle avait vue pour la dernière fois la fée verte, se retourna enfin pour se rendre au château. Pousser des portes, monter des marches pour enfin traverser l’entré du dortoir des jaunes et noirs. Il y avait quelqu’un des loyaux qui étaient déjà réveiller et qui discutait autour des tables préparant leurs plans pour leurs derniers jours de congé. Dom’ elle, n’avait pas de plan… elle ne voulait pas de plan. Elle venait de perdre une des choses les plus importantes de sa vie définitivement aujourd’hui. Bien qu’elle s’en était doutée auparavant que ça finirait ainsi. Bon d’Accord… C’est faux, elle ne s’en était simplement jamais douter car Domy était tous simplement trop optimiste pour prévoir ce genre de chose. Elle n’avait fait que penser que tous s’arrangerais qu’elle pourrait oublier bientôt. Mais il était clair pour tous les gens qui l’entourait que non ça n’arriverais pas. Louis avait manifestement raison… Elle était si naïve qu’elle avait sans cesse de se faire protéger.

La jaune et noir pris le temps de mettre des vêtements. Un jeans avec une camisole blanche décolleter. Pas le temps de faire plus, une queue de cheval et la voilà partie. Elle ne voulait pas rester enfermer dans ce château. Trop de souvenir. Trop de douleur. Elle partie sans rien prendre et sans rien dire à personne. Sa destination ? Inconnue. Elle irait la ou ses pas la mènerais de sorte que ce soit dehors tous simplement. La rousse traversa donc de nouveau escalier, couloirs et portes. Rendu dehors ses pas la menèrent vers le parc. Où elle trouva place au pied d’un arbre Elle s’assit à son pied les jambes replié sur sa poitrine et tenue par ses bras. Sa tête dans ses genoux elle ne voyait plus personne. Toute suite les larmes reprirent de plus bel. Une si belle histoire aurait pus avoir lieu… Mais non tous avait été détruit si vite.

Pourtant, si ce stupide Serdaigle n’avait pas été là… tous serais si bien en ce moment. Les deux jeunes filles serait toujours ensemble et heureuse. Manifestement tous était de la faute de se garçon. Pas capable de faire comme tous le monde et de tombé amoureuse d’une seule personne et de laisser ceux en couple a leurs compagne/copain. Par chance que les deux n’avaient pas de cours ensemble, Dom aurait très bien pus se montrer méchante. Il fallait dire que non… Elle n’en était pas capable. Mais elle lui aurait fait savoir ce qu’elle pensait de lui par un regard. Elle avait pensé à en parler avec Bubus ou Louis. Mais elle ne voulait le mal de personne. Déjà trop de monde avaient souffert de cette histoire. Depuis cette nouvelle, Domy avait exploré des émotions qui lui étaient encore inconnue. La colère, la jalousie, la tristesse… La jalousie ? Oui. Absy, son grand amour, avait perdu sa virginité avec un parfait inconnue au lieu d’elle. Souvent, elle s’était demander si cela était de sa faute.

Avait t’elle était trop lente dans leurs histoire et aveugle a des avances ? Ne comblait t’elle dons pas tous les demandes de Absy ? Chaque fois, la verte et argent lui avait promis que ce n’était pas sa faute… et pourtant. La colère contre elle de ne pas l’avoir sue plus tôt. Car non, elle n’avait pas été mise au courant immédiatement. La colère contre Absy de ne pas lui avoir été fidèle et encore bien d’autre raison. Finalement, la tristesse. La tristesse qu’elle sentiment horrible. Le pire de tous. Il vous ronge de l’intérieure pour vous tuer à petit feu. Domy aurait aimée ne pas explorer se sentier d’émotion. C’était sans aucun doute la seule fois de sa vie que d’autres élèves ou encore ses cousins la voyaient aussi triste. Elle avait déjà pleurée. Pleurer de joie. Pleurer le départ de se sœur à Poudlard. Mais jamais elle n’avait pleuré autant. Mais contrairement à sa sœur, elle savait qu’avec Absy c’était fini.

Pourquoi le monde disait toujours que l’amour était si merveilleux ? Il faudrait plutôt les prévenir du mal qu’il pouvait causer ! Dom se promettait même de dire à tous ceux qui voudrait trouver l’amour que une fois celui-ci fini il se retrouverait avec l’impression d’avoir leurs cœurs dévorer par des licornes carnivore. C’est dans un cas comme lui qu’Absy avait raison de vouloir faire manger les licornes par des tortues !! Dominique se demanda si elle aussi pleurait autant… Cette histoire avait t’elle autant compter pour les deux ? Elle le saurait dans quelques jours ou mois lorsque la première lettre promise arriverait. Pour elle la séparation était atrocement douloureuse. Sans oublier qu’elle espérait ne pas se retrouver seule ! Imaginez cela… toutes ses ami(e)s et sa famille la laissant seule dans son désarroi ! Quelqu’un allait t’il voir sa peine ?

Comme pour répondre à cette dernière penser, alors qu’elle était toujours perdue dans son délire, une ombre vint la déranger. Elle sue instinctivement qui cela pouvait bien être. Un moment elle ne dit pas un mot. L’ombre ne bougea point. Debout sans prendre place assise. Un silence régnait autour des deux personnes. Puis, après ce long moment de silence, sans même relever la tête elle fini par lui énoncer…

-Pourquoi est-ce que ça du finir de cette manière… Pourquoi ce garçon est arrivé. L’amour n’est t’elle pas censée être rose et purs ? Dit moi Bubus… Pourquoi les contes nous mentent t’il ainsi?

Certes un garçon de treize ans n’était peut-être pas le mieux placer pour lui répondre à tous cela, mais Domy voulait comprendre. Pourquoi n’avait t’elle pas eu droit a une belle histoire comme celle de ses parents, de ses oncles ou encore de ses grands-parents ?

Grєy-s-Anαtom