Liberty Destiny Nelson:: La soif de vivre

J'ai peut-être l'air d'une princesse. Mais je suis loin d'être un ange. Non. Je suis une rebelle. Une jeune fille qui se questionne sur à quoi sert l'univers. C'est certain que je suis sympatique et très gentille dans certaines conditions. Mais je n'aime pas que l'on me fasse faire des choses que je n'aime pas. Je suis une fille têtue quoi que je préfère dire que je suis déterminer. Je ne parles jamais de moi à moins de me sentir réellement en confiance avec la personne dont je parle. Je suis une fille curieuse de nature et aussi très intelligente. Beaucoup me qualifieront d'étrange parce que j'ai choisi de faire médecine et que j'ai d'avantage l'air d'une artiste. Je dirais à ceux là que je suis en transition. J'étais une artiste pour payer mes études. Mon bébé c'est ma guitare. Je trippe sur la musique et sur le cinéma. Pour apprendre à bien me connaitre, il faut me laisser le temps de m'ouvrir et de me sentir en confiance. J'ai aussi de la difficulté à donner ma confiance aux hommes dont j'ai souvent été victime.

Déterminée (ou comment ignorer le danger): Car losque je veux quelque chose, je l'ai à tout prix. Même s'il faut que je sacrifie une partie de ma liberté pour l'avoir. Parce que je sais qu'il faut que je me batte pour obtenir ce que je veux. Je suis peut-être petite. Mais j'ai vu beaucoup de choses et j'ai compris l'importance de me battre de faire de mon mieux pour avoir tout ce que je veux dans la vie. Le meilleur surtout.
Exocentrique (ou comment me sacrifier pour les autres): Je n'aime pas avoir l'intéret des autres sur moi. Je me noie donc dans mon travail pour réussir à être une bonne petite fille qui n'a pas l'air d'avoir ses démons. C'est entre autre pour ce côté de ma personnalité que j'ai choisi de devenir médecin. Parce que le bien-être des autres est plus important que le mien et que je préfère parler de d'autre gens que de moi.
Désordonnée (ou un ordre que je suis seule à comprendre): Je suis l'apocalypse quand on voit l'état de ma case. C'est que sur certains points dont l'ordre je ne raisonne comme personne. J'ai un trouble deficitaire de l'attention. Donc l'ordre cadavérique des mes affaires n'est pas un hasard. L'organisation ce n'est pas mon fort et je le sais.

Je suis le genre de fille sociale. Qui aime bien écouter les autres et qui s'entoure de sept ou huit amis dont elle est vraiment proche. De mon histoire à moi, je ne parle que peu. J'ai tendance à aller vers les gens qui aiment bien vivre, la musique et tout ce qui est médical. Je suis le genre de fille qui aborde un inconnu pour commencer une discussion. Sociale peut-être un peu trop. J'ai de la misère avec l'amour et j'en suis consciente. Pour être mon ami, il faut accepter de ne pas entendre parler de mon histoire car il est rare que je m'ouvre sur ce point. Sinon que dire... Je suis une fille qui se tient autant avec des garcons que des filles. Je n'ai plus aucun contact avec ma famille depuis que j'ai seize ans et je n'ai pas intention de changer ce fait. De toute facon, ce n'était que ma énième famille adoptive.

Quand vous me regardez, qu’est ce que vous voyez? Une petite princesse du haut de ses vingt-et-un ans qui rêve tout haut ? Vous voyez sûrement la femme d’un mètre soixante deux centimètre mince et aux formes respectables pour une jeune fille de son âge. Vous voyez sûrement une tignasse bouclée blonde qui tombe dans une cascade échevelée sur ses épaules. Vous voyez aussi ses grands yeux bleu percent une mèche qui flotte toujours devant son regard. Comme ses yeux, elle est de rêve. C’est ce que vous vous dites. Ce doit être une artiste tourmenté qui se cache sous cette allure, jamais on croirait que c'est un médecin. Celle qui ne parle jamais trop et dont le teint pâle semble fuir le soleil et les lèvres rosées excisent en tout temps un sourire ravis. Des dents enlignés à la perfection, sans broches, qui se découvrent souvent pour sourire à la vie. Vous voyez une jeune fille, la tête dans les nuages mais dont le style est terre-à-terre qui assume sa petite taille ayant compris que malgré toutes les crises de larmes qu’elle pourrait piquer, elle serait petite. Alors elle a troquée ses souliers à talons hauts pour des espadrilles confortables. En apprenant à voir au-delà de l’apparence vous apprendrez à connaître une jeune fille énergique qui aime les jupes et les belles robes quoi qu’on la voit plus souvent abordant Jeans et chandail décontractés sous sa veste blanche. Tout ce qui est utile pour bouger, rire grandir.Alors, quand vous me voyez maintenant, qu’est ce que vous voyez ?

Coeur trouvé aux objets perdus recherche l'âme soeur...

Interne

Urgence

J'aimerais avoir un lien avec Derek Shepherd et Owen Hunt. Au début de l'hiver, un peu après la première neige, je suis admise aux urgences du Seattle Grace. J'ai visiblement été battue puis j'ai tenté de me rendre à pied au Seattle Grace. Arrivée sur les lieux aux urgences, j'ai un trauma cranien léger et une hypotermie avancé. C'est ces deux docteurs qui se chargent de mon cas et du fait que je refuse de parler de ce qui s'est passé. Un mois après ma sortie, je commence mon internat au Seattle et j'ai peur de me trouver avec eux et qu'ils tentent de savoir ce qui s'est passé réellement.

Bianca

17 ans

C'est Dédé Fortin qui a chanté: "J’aurais tout à construire pour accueillir la paix et tout mon temps aussi pour prévenir l’univers que la joie est revenue et qu’elle reste à jamais… mais…Condamné par le doute, immobile et craintif, je suis comme mon peuple, indécis et rêveur, je parle à qui le veut de mon pays fictif, le coeur plein de vertige et rongé par la peur"

Taylor Swift

forumactif.com

Beau et actif. Exactement ce que je veux!

SUPERBE!

7 durant les vacances, 3-4 durant les cours

Moyen à fort

Plus d'une dizaine.

Je suis née dans un village à trois heures de route de Seattle. Une petite bourgade perdue dans un néant. Mes parents n’étaient pas des gens importants. Ma mère n’était pas un grand designer de mode, mon père n’était pas un grand banquier. Non. Pour être bien honnête, ma mère Juliette Martin était une canadienne qui était tombée en amour avec un étudiant de son université. Elle était en design, il était en administration. Mes parents ont connu le coup de foudre. Ils se sont réinstallés dans la ville natale de mon père ou en bas de leur petit duplexe, ils installèrent une boutique de vêtement cousu à la main, majoritairement des vêtements pour enfant. Ils avaient vingt-quatre ans quand ils se sont mariés. Ma mère voulait avoir des enfants et pourtant après plus de dix ans d’essais, n’ayant aucun résultat, ils consultèrent. Tout évolua à une vitesse folle et pourtant ma mère ne pouvait avoir d’enfant elle envisageait sérieusement l’adoption avant qu’elle ne tombe enceinte. Espérant de ne pas perdre l’enfant comme elle l’avait déjà fait par six fois, ma mère se soumit à un repos des plus complet. Au bout de neuf mois, ma mère donna naissance à sa première et seule fille, Moi. J’eu mon enfance dans ce petit village, celle qui précède mon entrée. Je fais mes premiers pas dans la boutique de ma mère qui roule rondement. C’est ma mère qui m’apprend à lire mais aussi à calculer. J’ai tout pour être une première de classe à l’âge de six ans. Mais c’est à cet age que tout bascule. Je suis à l’école quand il y a un hold-up dans la boutique des parents. Il ne reste plus rien dans le tiroir caisse et mes deux parents morts. Je suis confié à la protection de la jeunesse. Dès cette période, je vais de famille d’accueil en famille d’accueil. Ce n’est pas que je suis une rebelle à cette époque. Je suis juste une enfant catatonique et timide qui a besoin d’une famille sociale et prête à m’aider énormément. À seize ans, je rencontre celui que je pense comme étant mon grand amour. Je quitte ma famille d’accueil malgré mes bonnes notes et je me prends un petit boulot comme serveuse dans un petit café à Seattle ou je m’installe avec mon ami de cœur. Nous filons pendant six ans. Je réussis à être admise à l’université de Seattle en médecine. Je réussis même à conjuguer études et travail. Mais Thimeo n’est pas un ange aussi parfait qu’il en ait l’air. Un mois avant Noël, je dois me rendre à l’urgence. Une bataille a éclaté dans notre appartement et a tout foutu en l’air. Il m’accuse d’être infidèle. Moi qui supporte tout ce qu’il peut me faire d’horrible. Blessée et détruite muée dans un silence de mort, je refuse d’expliquer aux médecins ce qui m’a mené. Je veux juste retourner chez moi et quitter le climat destructeur dans lequel je viens de réaliser que j’évolue. Je me décide à demander d’avoir mon stage déplacé qu’il commence plus tôt que je puisse me prendre un nouvel appartement. Tout recommencer. Tout oublier. .