Changements... [PV, Terminé] THE END POUR SOPHIE COHEN =)

Dernière édition par Sophie Cohen le Ven 13 Juin 2008, 3:38 pm, édité 1 fois

A peine, était-elle rentrée de son petit voyage, qu’elle courait en direction dans son studio pour mettre au propre sa lettre de démission. Elle l’avait pondu dans l’avion venant de France. Et oui, elle avait fait un choix, dur, mais elle ne voulait en aucun cas, revenir dessus. Pourquoi ? C’est la question fatidique que tout le monde risquerait de lui poser. Elle s’y attendait à se moment crucial, mais elle était bien plus maligne. Des qu’elle aura fini, elle ira de suite la donner à l’une de ses supérieurs, et elle n’ira pas part quatre chemins, la première qu’elle trouvera l’aura entre ses mains et rien, ni personne ne pourra la faire reculer. C’est d’ailleurs pour cette raison que personne n’est au courant de ce qu’il va se passer dans les heures à venir.

***

Un mois, plutôt, elle était en entretien avec Addison Montgomery, l’une des directrice de chirurgie du célèbre Seattle Greace Hospital. Elle lui avait proposé un stage de psychologie. Sophie avait tout de suite accepté, vu qu’elle envisageait à ce moment de devenir psychologue, tout en continuant d’exercer son métier d’assistante sociale. Elle en avait parlé à une de ses amie qui n’est autre que l’une des ses chef, Anaïs Wilson. Elle avait très bien compris son choix, son envie de changement et de progression. A ce temps là, Sophie envisageait l’avenir sereinement s’en vraiment penser à ses quelques mois passés dans cette ville.

Les semaines passèrent tranquillement s’en trop de problème, depuis le bal du nouvel an, elle ne pensait s’en cesse, à son avortement et au fait qu’elle entretenait deux relations. Enfin si l’on pouvait dire cela, elle n’en était qu’au premier rendez-vous, la phase qu’elle préférait le plus dans le début d’une histoire. Elle ne savait pas trop sur lequel choisir. Les deux étant arrivés quasiment en même temps et ayant chacun leurs qualités et défauts. Bien sur, ses jeunes hommes travaillaient à l’hôpital. Elle qui s’était jurée de ne plus avoir de petit ami, sur son lieu de travail, cela ne faisait que mal commencer.

Le jour de son envole pour son stage arriva enfin, elle l’attendait avec impatience. Après, elle pourra voir si elle est vraiment déterminé à exercer ce job en plus de celui qu’elle faisait actuellement. En France, elle retrouva sa famille française, elle en était ravie, elle ne les avait pas vu depuis longtemps. Elle ne savait trop dire quand était la dernière fois, mais peu importe, elle allait pouvoir en profiter un peu. La première journée de psychologie, se passa très bien. La deuxième aussi, mais au fur et à mesure que la semaine se déroulait, elle se remettait en question. Elle serait le dire vraiment pourquoi.

Le vendredi soir, elle sortie au restaurant, avec quelques uns de ses cousins et cousines. Ensemble, ils parlèrent de leurs vies respectives. Plus le dîner passait plus, elle remarquait que sa vie ne lui plaisait pas. Il était vrai, qu’eux habitant en Europe, ils n’avaient pas tout à fait la même façon de vivre. Les Etats-Unis étant un pays bien spécial, qui ne vivent s’en vraiment regarder ce qui se passe à côté.

Après le repas, elle alla glisser dans son lit. Ne trouvant pas le sommeil, elle regarda la télévision, elle zappa de chaîne en chaîne ayant l’espoir de s’endormir. Impossible !! Pas moins que ses yeux se ferment. Elle se leva, s’habilla et sortie se balader. Elle était folle de faire cela à une heure pareille, il était quatre heures du matin !! Elle le savait très bien, qu’une jeune femme n’allait pas seule dans les rues de Paris la nuit ! Mais elle en avait envie et elle ne voulait pas tourner en rond dans son lit. Elle adorait cette ville, elle se sentait chez elle… Elle marcha pendant une bonne heure tout en réfléchissant à sa vie…

*Elle qui n’avait vraiment connu que les avenues de New York, collectionnés les mauvais petits amis. En partant à Seattle, elle pensait recommencer une nouvelle vie. Elle c’était trompée. Le premier soir après son entretien, elle avait fini dans un bar et avait couché avec le premier venu. Le lendemain, elle apprit qu’elle était embauchée. Elle retourna chez elle, l’annoncer à ses parents, qui furent surprit et heureux en même temps. Enfin, c’est ce qu’elle pensait. Parce qu’en fait, sa mère ne l’était pas !!! Une semaine plus tard, la voilà arrivée à Seattle avec tous ses souvenirs et bagages. Elle s’installa, chez son parrain, le temps de trouver un logement. Ses premiers jours de boulot, se passèrent très bien. Elle se fit rapidement des connaissances, dont certains sont devenus part la suite des amis. Elle ne constata qu’elle était enceinte que trois semaines après. Elle était mal, elle ne voulait pas… Enfin pas à ce moment. Elle ne se voyait pas avec un enfant sur le dos… Elle avait des projets… Ses amies étaient prêtent à l’aider, peu importe sa décision. Elle savait très bien que peu de médecins accepteraient de l’avorter mais par chance, elle en avait trouvé un qui comprenait son choix. A côté, elle avait rencontré un charmant jeune homme, avec qui tout se passait bien. Mais durant un des bal de l’hôpital, leur relation s’arrêta, ce qui était mieux pour eux deux, vu qu’être amis et collègues leurs allaient beaucoup mieux que d’être amants. Donc, elle se retrouvait enceinte et seule. Elle rencontra une infirmière un peu dans la même situation. Ensemble, elles s’entraidèrent. Mais Sophie ne changea pas d’idée, elle avorta à 12 semaines. Le temps passa, elle était heureuse, enfin c’est ce qu’elle croyait...*

Elle se trouva devant un petit café qui ouvra ses portes, la patron, la voyant erré comme une âme en peine, lui offra gentiment un petit déjeuné. Elle lui parla de sa vie… Après, elle le remercia et retourna, dans sa chambre d’hôtel prendre une bonne douche et se préparer pour rentrée à Seattle.

Assis vers l’hublot elle s’arracha les méninges pour trouver quelques choses de congrès à dire. Elle avait choisi, elle voulait changer de métier, de vie en quelque sorte, peut-être en France un premier temps, mais une chose est sur loin de l’Amérique !!

Anais était dans son bureau, elle travaillait sur son nouveau projet de communication. Il fallait absolument qu’elle trouve un nouveau plan pour l’image de l’hôpital. Pas seulement pour les personnes extérieures, qui avaient une très bonne image de l’hôpital, mais un projet commun pour ressouder l’équipe dirigeante.

Un projet qui fasse bloc avec tout le monde. Elle cherchait, mais malheureusement, pour elle, une nouvelle des plus déprimantes allait lui arrivait.

Elle allait perdre sa meilleure amie. Celle qui était devenue une collègue puis une amie très proche, pour devenir sa meilleure amie.
Elle n’allait pas être surprise, elle connaissait ses motivations. Elles en avait parlé à plusieurs reprises.

Sophie, tout juste arriver à son appartement, prit un grand verre d’eau, puis alla poser ses affaires dans sa chambre. Peu après, elle alluma son ordinateur portable et s’installa sur son lit. Elle sortie de son sac à main, le brouillon qu’elle avait écrit dans l’avion, il y a à peine quelques heures. Elle s’avait qu’elle ne devait rien faire à chaud. Mais là, elle était plus que sûr de son choix. Rien ne pourrait lui faire changer d’avis!!!!

Au bout d’une demi heure, elle avait terminé, elle brancha l’imprimante et en sortie une copie. Elle signa la feuille et la mit dans une enveloppe. Elle regarda sa montre, elle avait encore le temps de passer à l’hôpital, vu l’heure, elle trouvera facilement l’une de ses supérieurs. Elle décida de changer de vêtement avant de partir. Elle sauta donc dans la douche. Dix minutes plus tard, la voilà enrouler dans une serviette devant son placard. Que mettre pour un moment pareil? Un pantalon? Une jupe? Une robe? Son choix s’arrêta sur un haut blanc et son pantalon beige, et ses nouvelles chaussures blanches. Enfin habillée, elle alla une deuxième fois dans la salle de bain, pour se coiffer et se maquiller d’un coup de crayon noir et de mascara. En deux trois mouvements, elle était prête. Elle prit son sac à main, l’enveloppe. Se regarda une dernière fois dans le miroir. Et sortie de l’immeuble.

Il faisait très beau aujourd’hui, pas un seul nuage ne venait remplir ce ciel bleu. Cela lui donnait du courage, bien qu’elle était contente d’avoir choisie d’arrêter son boulot et partir à l’étranger. Arriver à sa voiture, elle monta dedans, mit le moteur en marche et roula jusqu’à l’hôpital. Aucun soucis sur la route, deux trois feux rouges, pas le petit bouchon habituel. La chance était avec elle!

Sur le parking de l’hôpital, elle dût tout de même faire deux fois le tour avant de trouver une place libre. Elle sortie de sa voiture, marcha jusqu’à l’entrée et s’arrêta quelques instants pour admirer la façade de l’hôpital. Elle se rappelle comme si c’était hier, son premier jour ici. Elle était stressée… Alors que maintenant absolument pas. Elle était calme et joyeux. Elle ne voulait tout de même pas trop le montrer. Au bout d’une minute, elle rentra dans le bâtiment, elle passa devant la réception, salua comme à son habitude, les standardistes et monta à l’étage par l’escalier. Elle serait ravie de croiser l’une de ses supérieure maintenant, cela lui éviterai de trop croiser ses collègues. Mais non, elle ne rencontra personne sur son chemin. Au premier, tout était calme, pas un bruit. Elle s’avança jusqu’au bureau d’Addison, la porte était ouvert. Personne à l’intérieur. Elle n’allait tout de même pas osez poser sa lettre de démission sur le bureau d’une des directrice. Elle en était très tentée, mais elle ne le fit pas.

Elle se retourna, et marcha vers son bureau, elle voyait de la lumière à travers la porte. Quelqu’un était là, qui? Anaïs? Cléa? Elle regarda à gauche, à droite, personne ne venait… Elle se décida donc à ouvrir la porte et vit…

Anais était là devant ses dossiers. Elle devait faire quelque chose, mais elle n’avait plus l’inspiration des grands jours. Elle jouait plus avec son stylo et le bouchon qu’autre chose. Elle était fatiguée. Peut-être que sa vie d’avant lui manquait, peut-être que son ex lui manquait.

Elle n’aurait pas pu le dire. Enfin, il fallait qu’elle bosse mais sans cette inspiration et la motivation, elle n’avançait pas. Et puis, il y avait personne dans ce bureau. Sophie était partie en France et Cléa roucoulait avec son mamour.

Bref, elle n’avait plus de vie sociale …. !
Elle se morfondait sur elle-même quand la porte s’ouvrit. Elle se retourna brusquement et vit sa meilleure amie, avec le sourire.

- Hey, Frenchy !

A peine avait-elle ouverte la porte que son amie, collègue, supérieur la salua sur un ton d’humour. Elle lui répondit avec un grand sourire.

- Hi Miss Wilson!

Dit-elle,

Comment vas-tu?

Elle espérait qu’elle ne lui retournerai pas la question… Pff… Elle n’aurai pas dû lui demander. C’est évident qu’elle allait en faire autant. Et qu’elle allait aussi lui poser un tas de questions sur son séjour en France. Mon dieu, elle ne s’était pas préparée à tout cela. Elle inspira un grand coup et alla se poser sur sa chaise.

Elle vu un tas de courriers sur son bureau, elle n’osait pas imaginé le nombre d’email qu’elle devait avoir, ni le nombre de messages sur son répondeur… Elle n’était partie qu’une petite semaine. Pour qu’Anaïs, ne se doute de rien, elle alluma son ordinateur, et ouvrit ses lettres. Elle les regarda à peine, et les rangea au même endroit que d’habitude.

Elle réfléchissait dans sa tête comme, arriver à donner sa lettre sans que son amie ne le prenne mal tout en lisant vaguement ses mail…

Anais rigola de la phrase de sophie. Elle souriait. sa bonne humeur était revenue.

- Elle va bien, elle est très fatiguée mais ça va .... !

Elle ne put s'empêcher de lui demander aussi, comment elle allait. Elle hésita longuement.

- Alors ... ?

Elle s'arrêta.

- Je demande parce que tu m'as manqué, je me suis ennuyée toute seule !

Anais, ne savait pas quoi dire, sophie paraissait ailleurs.

- Tu dois vraiment travailler parce que si tu n'as rien à faire, on peut sortir !

Anais était toute heureuse de pouvoir sortir, mais elle sentait que son amie lui cachait quelque chose.

Au bout de quelques minutes, elle voyait la regarder bizarrement.

- C'est quoi le truc ? Allez, vide ton sac !

Sophie ne pouvait garder plus longtemps sur le cœur, ce qu’elle allait faire! Mais elle savait très bien que cela allait vexé son amie. Comment tourner sa phrase pour ne pas lui faire trop de peine.

- Tu parles de toi à la troisième personne?

Dit-elle en souriant.

Elle ne faisait que ralentir le moment ou elle allait devoir cracher le morceau…

- Je vais…

Comment dire? Elle ne savait pas… Hésitation… Pas bon… Pas bien… Elle qui était si sûr d’elle, il y a quelques minutes encore!

- Je dois… Euh… D’abord, te parler on sortira après si tu es toujours d’attaque…

Elle arrivait gentiment à commencer à lui expliquer… Que c’est dur! Elle aurait préféré tomber nez à nez avec Addison ou Miranda, les choses auraient été plus simple! Que devait-elle faire, lui donner la lettre ou lui dire? Dans tous les cas, elle aura la lettre… Alors…

- Je démissionne…

Anais avait la bonne humeur, dans la voix.

Oui, je parle de moi, à la 3e personne, j'aime cela !

Elle voulait oublier le malaise de sophie. Malgré tout, elle était obligé de voir son hésitation.

Quand elle entendit le verbe démissionner, elle faillit tomber de sa chaise.

- Quoi ? Tu démissionnes ? Je savais que tu étais changée depuis ton voyage en france, mais ...

Elle reste un instant.

- les frenchies sont aussi attirants que cela ?

Malheureusment, anais savait que les décisions de son amie, était irrévoquable. Elle l'avait vécu pendant son avortement.

- Je ne peux pas te faire changer d'avis, c'est ça ?

Anais connaissait la réponse, et elle avait mal de quitter son amie.

- Tu quittes l'hopital, pas tes amies ?

Anais avait peur de cette réponse et suppliait du regard sophie de lui répondre vite.

Sophie savait que cela avait fait très mal à Anaïs, comme si elle lui avait lancé un poignard dans le cœur. Elle ne savait pas comment lui annoncer, ce n’est jamais simple d’expliquer à l’une de ses chef qui est en plus son amie quand l’on souhaite partir…

Au fond d’elle, elle était soulagée, elle avait envie de crier sa joie d’avoir réussi… Mais elle ne le fit pas, elle voyait dans les yeux de sa supérieur qu’elle ne devait pas!

- Les français non rien avoir avec mon envie de…

Elle devait s’expliquer… Pas une chose facile…

- Disons que mon séjour m’a ouvert les yeux… Je n’ai pas eu beaucoup de chance ici… Ok, j’ai un poste en OR! Mais au plus profond de moi, je ne suis pas heureuse… Je n’ai pas envie de rester ici, cet endroit me fait trop penser à mon avortement… Puis …

Elle avait du mal à lui parler… Peur de faire encore plus de peine… Elle ne voulait pas, mais c’était déjà fait. Au moment, ou elle était rentrée dans ce bureau, elle avait fait mal à Anaïs!!

- Nous allons resté amies même si je suis à plus de 10 000 Km…

Ce sera dur mais l’amour et l’amitié, si il est réel arrive toujours à tenir malgré la distance même si c’est complexe!!!

- Je quitte l’hôpital, mes collègues… Mais toi, tu es devenue en quelques temps, une très grande amie… Tu es l’une des seule avec qui je garderai contact!

Dit-elle avec un grand sourire soulagée…

Anais voyait bien que son amie ne voulait pas lui faire de mal.

- Je te comprends ... Ce n'est pas ce que j'aurai voulu ... mais je te comprends ... Vouloir partir !
Tu as du courage et tu es intègre.
Je ne peux que te laisser partir ... !

Anais avait mal, mais elle devait laisser son amie partir ....

Elle fut rassurée quand Sophie lui dit qu'elle resterait amies, même si elle partait l'hopital.
Elle en fut meme émue.

- Merci, cela me fait plaisir que tu ne rayes pas de ta vie notre amitié.

Anais alla prendre dans ses bras Sophie.

- Je crois que le reste, c'est à moi de le faire. Tu as assez affonté d'épreuves.
Allons boire un verre...

Sophie écoutait vaguement son amie, elle voyait bien que cela ne lui faisait guère plaisir, elle était un bon élément ici. Le poste avait presque été créer pour elle. Elle s’y sentait plutôt bien. Mais au plus profond elle-même, elle n’était pas heureuse. Elle ne savait pas vraiment ou le bonheur se cachait, une chose était sûr c’est qu’il n’était pas dans se bâtiment ni dans cette ville.

- Je sais que c’est dur à entendre… Je ne veux faire de mal à personne.

- Une vrai amitié tient toujours même dans les moments durs…

Anaïs la prit quelques instants dans ses bras. Puis elle se leva pour regarder par la fenêtre tout en continuant d’écouter les paroles de son collègue.

- Je vais peut-être te faire d’avantage mal en te disant que je ne préfère pas.

Elle parlait, tout en réfléchissant à la manière dont elle allait devoir donner sa lettre de démission. En faisant cela, elle savait très bien que son amie, allait vraiment réaliser ce qu’il se passait.

- Je ne vais pas y aller par quatre chemins.

Elle se retourna, ouvrit son sac à main et en sortie une enveloppe, qu’elle lui tendit.

- Voici ma lettre de démission. Je pars demain pour la France.

Elle prit un carton qui se trouvait derrière une étagère et commença à emballer ses effets personnels.

- Je donnerai tous les dossiers en cours ou cabinet avec lequel l’hôpital travail de temps à autre,

ajouta-t-elle.

Elle pensa d’avantage au patient qu’à la réaction de son amie à ce moment présent. Quelques minutes plus tard, elle referma la boîte. Prit les dossiers en cours, et sortie du bureau pour aller en face de l’hôpital pour les apporter aux assistantes sociales du cabinet extérieur.

Au bout d’une demi-heure, elle revenue.

- Je suis désolée d’être aussi précipiter… On se reverra un jour peut-être. Tu viendra me voir en France.

Sophie éteignit l’ordinateur, prit son sac à main, le carton et salua Anaïs. Puis sortie du bureau. Elle marcha en direction de la sortie. Arrivée devant sa voiture, elle ne se retourna pas. Elle avait réussi bien que mal à démissionner. Elle était à la fois heureuse et triste. Mais en aucun cas, elle ne regrettait son choix!

Le lendemain, elle prit l’avion pour la France, son nouveau pays d’adoption…. La voilà partie pour de nouvelles aventures…

[Je vais peut-être trop vite pour toi... Mais cela traînait en longeur, en tout cas, je te remercie de l'avoir fait avec moi... Merci pour tout =)]

[de rien]