Quand tout va mal...

Invité

Mina s'était réveillée tard selon elle. Tard comme lorsqu'elle fumait et qu'elle buvait trop. Tard comme quand son père venait de la battre. Comme quand il lui volait une partie de plus d'elle. Quand elle avait ouvert les yeux, le cadran indiquait dix heure. La nuit lui avait tout fait oublier. Qui était-elle? Ou était-elle? Pourquoi était-elle ici?

Quand elle tourna sa tête pour réaliser ou elle était, elle s'arracha un ridicus de douleur. Puis quand elle réalisa que les murs étaient dénudés et que sa chaise roulante était pliée dans un coin de la chambre, sa bonne humeur s'en alla d'un coup sec. Des larmes roulèrent sur ses joues. Encore une fois, elle refusa la nourriture infecte que l'on lui proposa.

Une infirmière l'installa après à sa demande dans sa chaise roulante. Elle s'en alla dans la toilette adjacente à la chambre. Pendant près d'une heure, elle s'y était embarrée. Elle avait pris une douche rapide. La seule chose qui restait informe était ses cheveux. C'est avec de grandes larmes aux yeux qu'elle coupa ses cheveux qui arrivait à la taille à la hauteur de l'épaule.

Puis, elle était sortie de la chambre. Elle avait l'air d'un boxer qui avait mangé une grosse volée depuis son viol. Ses yeux étaient bouffis, sa jambe droite était fracturée, son bras gauche aussi. Mais s'était dans sa tête que la tempête était prise. Avec difficulté, elle entrepris de se lancer à l'exploration de l'hôpital. Elle entra avec difficulté dans l'ascenseur bondé. Et choisit au hasard un étage sans regarder ou elle serait mener.

L'ascenseur s'arrête. Elle sort péniblement de la cage poussant son fauteuil avec des plaintes de douleur. Les portes se referment un peu sur elle puis se réouvre parce que quelqu'un a la décence d'appuyer sur un bouton. Elle est dans l'étage de Cardio. C'est ce que lui dit un affreux panneau suspendu sur sa tête. Quelqu'un la bouscule à nouveau. Elle attérit face au mur. Qu'elle se met à frapper avec sa main correcte de toutes ses forces. C'était trop pour elle. Des larmes coulent sur ses joues. Personne ne la regarde. Tout le monde l'ignore.

- Je veux retourner à la maison!

Invité

Mathys trainait encore dans les couloirs de cardiogie,depuis qu'il avait rencontre cette patiente a qui il s'etait beacoup attache.Il y passait beacoup de son temps,meme pendant ses gardes,pour lui apporter bien etre et presence..Il voulait s'investir pour elle.

Il regarda l'heure tout de meme a un moment et prefera la quittee,ayant peur que sa titulaire la suprenne a ce moment la,au lieu de finir de remplir les dossiers.

-Puis apres tout,je fais toujours tout en avance et vite,elle pourrais etre fiere de moi..j'ai bien droit a uen petite pause pensa t il.

Il biffurqua vers les ascenceurs,mais prefera prendre les escaliers:plus rapide..
Quand soudain,surgit une jeune fille dans un fauteil roulant,qui avait l'air a la fois triste et revoltee.Il assista a toute la scene,d'abord elle fut pousse,puis bousculee,et fini par tomber contre le mur..

Il courut vers elle et l'aggripaa par les bras.

-vous pourriez pas faire attention bande de salauds sans cervelle..

il l'a retourna vers lui et vis son visage:un visage sans saveur et pale,d'une petite fille qui devait avoir connu les pires choses dans sa vie,ca se lisait dans son regard baigne de larmes.

Mathys la prit dans ses bras et la berca legerement

-chut ca va aller,calme toi,je vais m'occuper de toi..

q'est ce qui a bien pu t'arriver pour que tu sois dans cet etat? se demandait il

Mais surement qu'il n'autais peut etre jamais de reponse..

Invité

Flash Back
Mina a neuf ans, elle est dans son appartement avec sa mère. Les plus petits dorment dans une chambre. Les deux filles dessinent. Le père arrive dans la maison. Il dégage une forte odeur de Gin. Il n'est pas venu à la maison depuis des jours. Il s'approche de sa femme qu'il embrasse avec force. Mina lui dit de lâcher sa mère. Il lui hurle de se la fermer. Ce qui se passe entre ses parents ne les regardent qu'eux seuls. Et que ce n'est pas elle, une bâtarde qui va lui montrer comment traiter sa femme. Mina lui hurle qu'elle a le droit. Il la plaque violemment contre le mur. Des larmes roulent sur ses joues alors qu'elle essaye de se relever. Sa mère détourne son père d'elle en l'entrainant dans sa chambre en lui promettant tout l'amour.
Fin du Flash Back

Mina a le regard vitreux. Elle est dans la même position qu'il y a dix ans. Au pied du mur. Dans sa tête résonnent les cris de Célia. Sa mère. Qui ne veut pas. Qui fait semblant d'aimer cela. Des larmes coulent sur ses joues.

* Papa, il disait que c'était bien. Il disait que c'était correcte. Une bonne petite fille ne pleure pas. Je dois pas pleurer...*

Pourtant des larmes inondent les joues de Mina qui a mal. Qui est au pied du mur. Elle a quel age? Neuf ou dix-neuf? C'est si flou pour elle. Elle a de la misère à faire la différence.

Elle en a vu d'autre des scènes du genre. Elle tombait souvent. Trop souvent. Elle tombait de très haut. Et elle n'était jamais amortie. Elle frappait avec sa main valide dans le mur. Elle avait mal. Mais elle s'en foutait. Du sang coulaient d'une des plaies qui ne s'était pas refermée dans sa figure. Et puis il y eut des pas.

Quelqu'un l'agrippe par le bras. Il y a de la douceur dans le geste. Mais pourtant Mina retourne quand même dans ses souvenir poussiéreux.

Flash Back
Encore son père qui est saoul. Mina est un peu gelée. Elle a quatorze ans. Elle vient de lui parler de son désir de quitter l'école. Il la saisit par les deux bras et la plaque vers le mur. "Qu'est ce que tu va faire de ta vie petite trainée? Qu'est ce que l'on va devenir? Tu pense que tu es utile? T'es juste une méchante petite fille. Une méchante petite fille qui veux briser le coeur de ton père qui est si bon pour toi? Sur les genoux méchante!"
Fin du Flash Back

Mina remarque ses yeux bleus qui la regarde. Elle avait tellement mal. C'était une petite fille. Une fillette qui veux avoir sa mère. Une orpheline qui avait besoin de tout pour oublier la douleur qui la tenaillait. La jeune femme se balancait lentement d'avant en arrière effrayer...

Des larmes coulaient encore sur ses joues... mais elle ne sanglotait plus.

- Ils m'ont fait bobo. Ils m'ont frappé. Ils m'ont frappé longtemps. Ils m'ont fait bobo en rentrant dans moi. Parce que j'étais une fille facile. Parce que c'était dit bien...

Pleurnicha-t-elle. Elle avait une petite voix. Une voix de fillette. Une voix d'enfant. Elle ferma les yeux et fondit en grosses larmes.

Invité

Mathys fut frappe par cette voix de petite fille,sur un si petit corps qui de loin ne pouvait apparaitre appartenir a une petite fille de 9 ans..
Puis l'horreur l'aggrippa qd il vu son visage qui malgre ses larmes exprimaient bien de la peine et de la souffrance.La suite l'emcourageant dans cette voie..

-qui,qui t'as fait ca tu peux me le dire?

Il releva discretement le haut de sa manche,et remarqua les quelques traces de bleus et de brulures.Cela le choqua..ca lui rapellait ses propres souvenirs,pas lui,pas ce petit garcon si frele et deja fragile qu'il etait ya 10 ans,mais tous ses efforts qu'il avait devellope pour la sauver elle..

-ca va aller,je vais m'occuper de toi,tu te souviens dans quel chambre tu es?quel est tonnom?et tu as quel age?est ce que tu es capable de me dire ca?

Il la tira un peu en arriere pour la relever legerement et mieux observer son visage de petite fille acable par la douleur
A cet instant,il n'avait nullement de la pitie pour elle,mais une reelle compassion,et l'idee fixe de pouvoir l'aider...

Invité

Mina se balancait lentement d'Avant en arrière. C'était un rythme lent qui la portait sur la tempête. Avance, Recule. Un pas à la fois... Il ne faut pas aller trop vite. On pourrait tomber. Encore et encore. Tomber toujours plus bas. Un jour, on pourrait ne plus se relever.

C'est une fillette que la vie a déjà lourdement effrayer. Jamais elle ne reste seule. Toujours être avec quelqu'un. Ne jamais rester seule. Toujours se promener avec une autre fille. Avec maman.

- Ils disaient que je devait pas le dire. C'est pas bien... C'est un secret...

Flash Back
Mina a douze ans, elle est couchée dans son lit. Son père est saoul et nu à ses côté. Elle vient de subir son premier viol avec violence. Il relève la couverture et caresse la peau fraiche de la jeune femme. Elle pleure et lui demande si elle a le droit de lui dire. De le dire à maman. Qu'elle n'est plus neuve. Il lui hurle dessus. Il lui dit que c'est un secret. Que si elle dit ca, il va la battre jusqu'à ce qu'elle meure. Alors elle fait semblant comprendre.
Flash Back

Des larmes blanche coulent sur les joues roses de la jeune femme. Elle murmure d'une voix effacée...

- Je suis au urgence... parce que personne veux de moi. Parce que je suis méchante. Oui... Mina est méchante... Très méchante. Tellement méchante qu'on la bat. Parce que c'est une fille qui veut suivre sa voie.

Elle a mal. Il la relève légèrement. Mais elle s'écroule. Sa jambe dans le platre ne peux la porter. Dans ses yeux, il brille cette peur d'un enfant. Un enfant qui en a marre de souffrir. Un enfant affolée qui veut sa mère.

Quand elle réatteint le sol, elle part à pleurer à nouveau. Elle a mal. Elle veux que l'on la console. Et c'est pas au corps qu'elle à mal. C'est à la tête... C'est dans elle.

Invité

Mathys avait pitie pour cette pauvre petite fille.En petite,il en etait pas tres sur,son visage indiquait a peine 9ans,mais en la regardant bien,elle avait les formes d'une adolescente qui atteignait l'age adulte..

-Mina,ecoute moi bien..

Il la reprit par les epaules et plaqua sob front contre le sien,non pas pour la forcer a l'ecouter,mais pour montrer de l'attachement,une estime,et son envi enorme de pouvoir l'aider.
Longtemps ils resterent comme ca ,tous les 2 agenouillais sur le sol..
Le temps ne paressait plus,mais il s'ecoulait lentement..

-Mina,il faut que tu me dise tout d'accord?Je..Je suis le gardien des secrets les plus enfouis.Moi aussi je te dirais un secret d'accord?tu veux bien?

Elle aquiecia l'air triste et lointain..comme si son esprit etait la,mais son corps ne repondais plus..

-Alors dis moi,dis moi qui t'as fait ca..est ce que c'est ton pere?

Il la serra contre lui pour la rassurer,ett lui faire comprendre que maintenant il veuillerait sur elle..

Invité

Mina était une de ses filles qui avait grandi trop vite. Elle n'avait pas choisit sa vie. Elle n'avait jamais fait de choix. Cette fois la ne faisait pas exception à la règle. Normalement, quand elle était dans cet état là, c'était la drogue sa solution. Ca la faisait se calmer. C'était quand tout avait mal. Quand elle ne savait plus comment s'accrocher à la vie. Alors elle fuyait. Par la drogue. Par les mauvais choix. Elle le savait.Mais ca lui convenait. Elle n'avait plus mal ainsi. Elle ferma les yeux et méchament elle répliqua.

- Qu'est-ce qui vous dit que j'ai envie de vous écouter? Hein, Monsieur! Qu'est ce qui vous le dit?

La jeune femme avait hurler. Non. Elle ne voulait pas l'écouter. Encore un autre homme qui lui dirait comment penser et agir. Mina était méchante très méchante. Elle se défit de l'étreinte de l'homme qui voulait la calmer. Ca ne marcherait pas cette fois ci. Ca ne marcherait plus jamais...Elle ne se laisserait pas faire. Plus jamais. Pour tout l'or du monde.

Flash Back
Son père la plaquait contre le mur. Son front était contre le sien. Mina était gelée. Elle avait quinze ans tout au plus. Elle avait fumée et bue. Parce qu'elle ne voulait plus travailler comme putain. Son père lui hurlait à la figure. "T'es une espèce de salope méchante et dévorgondée. Tu m'aimes pas, C'est ça? Donc tu va chercher l'amour chez les autres, C'est ca? Dit moi le. T'es une putain pire que ta mère". Il sentait l'alcool. Il plaqua sa bouche contre celle de Mina. À force de coup sur les épaules il la fit s'agenouillée... Du sang ruissellait de son chandail blanc, tachant la couleur. Il la frappait avec une ceinture. Elle finit par arriver à genou...
Fin du Flash Back

- Personne doit savoir. C'est ce qu'il disait. Pas même le petit jésus. Ni maman. Personne avait le droit de savoir. Pas le droit. C'est pas bien de dire des choses comme cela. C'est méchant... de dire des secrets...

Elle a appuyer son index sur la bouche de l'homme. Comme pour lui dire de pas parler. Il ne fallait pas qu'elle parle. Il n'avait pas le droit de lui poser des questions. Elle ne voulait pas.

- J'ai pas de papa. Ma maman, elle a mariée quelqu'un quand j'étais petite. Mais c'est pas mon papa.

Elle n'avait plus personne. Elle partit à pleurer. Cet homme, ce n'était pas son père. C'était un loup. Un Grand méchant loup qui la mangeait. Elle le détestait...

Invité

Mathys fut legerement decu de la reponse de la petite fille.
La confiance serait une chose difficle pour elle a avoir,surtout de la part d'un inconu.Cela rallentisais sa volonte et son pourvoir de l'aider,mais d;un cote il le comprenair:elle venait d'enchainer plusieurs drame et semblait vouloir croire plus personne..

-bon ok j'avou je suis vieux et barbant..
N'empeche que je te veux aucun mal,je te promet,je voudrais tant t'aider Mina,et ne me dfs pas que je peux pas,mais donne moi les possibilites de le faire.Je sais c'est difficill pour toi,tu me connais pas,et tu en vois en moi qu'un pauvre medecin,qui pense a ouvrir les gens,mais en ce moment meme,mon plus grand plaisir serait de t'apaiser un peu.je suis pret a t'ecouter,et surtout a tout entendre..

pauvre petite,elle semble avoir morfle toute sa vie,et voila que la seule chose qu'elel peut faire c'est se braquer contre tout le mnode.Et peut etre mene contre elle meme...c'est triste..

Invité

Mina savait qu'elle allait devoir le dire. Mais elle ne voulait pas. Il n'était pas son père. Jamais, elle ne l'avait considérer ainsi. Il était trop méchant pour être un papa. Elle pleurait. Elle rampa jusqu'à sa chaise roulante.

Elle voulait partir. Loin. Loin. Très loin d'ici. La ou personne ne pouvait la toucher. Elle avait besoin de s'en aller loin. fuir encore. Toujours fuir quand la vie ne nous plaisait plus. C'était une habitude. Elle essaya de se hisser sur la chaise mais retomba. Elle ne voulait pas lui parler. Elle avait peur de lui dire.

- Il était pas mon papa. Il le sera jamais. Un papa, ca aime sa fillette. Ça lui fait pas mal.

Elle n'avait pas finit de prononcer ses mots qu'elle les regrettait déjà. Elle avait besoin d'oublier. Elle avait cesser de pleurer. Elle avait froid. Comme quand on dégrise d'un coup. Son regard avait changer. C'était celui d'une femme. Une femme que la vie avait éprouver. Une battante qui s'était souvent retrouver battue à son jeu. Mais qui continuait de jouer pour ne pas mourir. Elle avait une lueur de violence incompréhensible dans les yeux.

C'était le genre de pulsion de violence qu'il fallait fuir. Elle se releva doucement face aux mur et entreprit de frapper à coup franc dans le mur. Elle avait mal au poing mais elle s'en fouttait. Elle devait se punir. Il y eut un craquement faible. Et elle ravala ses larmes. C'était sa main qui avait craquer. Elle continuait de frapper dans le mur en se maudissant.

Invité

La confiance etait tres dur a voir de sa part,mais c'etait le pari que le jeune interne c'etait donne,car il ne pouvait pas la laisser comem ca apres l'avoir vu plonger dans un abime profond.

-tu as raison,un pere doit aimer son enfant,mais il arrive que certaine situation soit trop dur a supporter,et que l'amour me soit plus demontrer,mais ca prouve pas qu'il n'existe plus.Ton pere te frappait,il avait ses raisons,et je ne l'excuse en rien du tout,je connais cette cette situation,e tu ne meritait pas tout ca.Maintenant tu es la,enxore vivante,et je voudrais bien t'aider,mais je impuissant..

puis il ramper vers le mur et retint sa main pour eviter qu'elle frappe de nouveau

-te punir ne servirait a rien Mina,yu n'y ai pour rien,retiens bien ca,ce n'est pas ta faute..

mathys s'approcha d'elle,la porta et la remis sur sa chaise..

-On va parler,tu veux bien?

Invité

Il lui avait saisir le poignet pour m'empecher de frapper encore dans le mur. Personne ne pouvait comprendre cela. Elle avait besoin de frapper de détruire. Comme on l'avait détruite trop souvent. C'était avec une petite voix d'enfant qu'elle s'adressa de nouveau à lui. Elle aurait tout essayer.

- Il avait pas le droit de me faire ce qu'il m'a fait. Il m'a pas juste frapper. Tu entends ca! Il m'a pas juste frapper.

C'était la première fois qu'elle avouait à quelqu'un qu'elle s'était peut-être déjà fait toucher. C'était la premier fois ou ce cri sortait de sa gorge avec rudesse. Il ne pouvait pas comprendre. Personne ne pouvait comprendre à quel point ca lui faisait mal. Elle avait recommencer à se balancer d'avant en arrière. Elle s'était écroulée sur l'épaule de Mathys et pleurait toute les larmes de son corps. Personne n'avait compris. Elle avait mal. C'était dur pour elle. Un deuil constant.

Ces mots étaient sortit de sa gorge. Un cri de détresse d'une adolescente. Elle les regrettait.

- Tu le dira pas, Hein? Dit le moi! Personne doit savoir! C'est pas bien. C'était un secret. S'il le sait... je veux pas y penser.... Non... Non...

Mina avait des grosses larmes qui coulaient de nouveaux sur ses joues. Elle avait mal. Il ne fallait pas penser à ce que son père allait faire s'il apprenait qu'elle avait dit ce qu'il lui avait dit de ne jamais dire.

- Promets le moi!

Invité

Mathys etait a present completement desempare.

La petite fille etait maintenant conte lui,et verser toutes les larmes de son corps et coeur.

Mathys passa une main derriere son dos et sa nuque et la berca doucement pour la soutenir et la recomforter.

IL fut frappem d'horreur qd elle lui apprenait son viol.Comment osait on s'en prendre a une enfant..il avait de la haine,oui de la haine,et cela durer depuis un long moment.Depuis la premiere fois qu'il fut fasse a cette sitution...voila 12 ans de ca..a un autre age,dans une autre ville,pour une autre personne..
Et tout cela lui revenait en memoire..

Il s'approcha de son oreille et lui murmura.

-ne pleure plus Mina,je suis la maintenant,tout ce que tu em diras restera entre toi et moi,je t'en fait la promesse.

Puis apres une hesitation il rajouta:

-je connais ton parcours,plus que tu ne crois...

Invité

Mina revoyait rapidement les agressions qui se succédait. Elle avait été brisée et marquée. Beaucoup plus que le médecin ne pouvait le penser. Elle avait longtemps souffert.

Depuis ses quinze ans, elle avait avorter trois fois et elle avait perdu au moins quatre enfants après des viols de son père ou tout simplement après que des clients plus exigeants lui aient fait mal.

Mathys avait beau dire qu'il connaissait son parcours. C'était faux. L'horreur était bien pire. Il ne pouvait pas comprendre l'ampleur du désastre qu'était Mina.

Elle revit le sang. Le sang qui coulait des poignets de sa mère se répandant par terre. Elle frémit avec horreur. Des sanglots étouffèrent encore sa voix. Elle avait tellement mal. Elle aurait voulu tout oublier. Que tout cela n'aie jamais exister. C'était une petite fille. Pas une mère qui était la. Elle dirait tout si on lui disait qu'elle serait en vie pour toujours. Elle avait besoin d'ouvrir la porte et la lumière. Elle avait envie de lui dire pour ces enfants qui n'étaient pas nés. Mais elle n'était pas prête.

Elle sanglotait lentement et hoqueta entre ses larmes

- Ca fait sept ans que ça dure quand il n'est pas content ou quand maman est enceinte et qu,elle ne peut pas lui donner ce qu'il veut. C'est dans mon lit qu'il vient. Même quand je veux pas. Même quand je suis pas en forme. Il me force. Il enlève sa ceinture.

Dit-elle en retenant à peine ses larmes.

- Il me frappe avec si je veux pas. Jusqu'à ce que je lui cède.

Invité

Mathys etait vriament triste pour elle

-faut vraiment que je l'aide.Maintenant que j'ai un peu obtenu sa confiance,faut pas que je las perde.. pensa t il

Il lui caressa gentiment le brasm,en esperant pouvoir la rassurer un peu

-il te faisais ca souvent?ta maman s'en doutait elle?

Il demeura accroupi en face d'elle

-Il ne te touchera plus,je le promet..

Il svait que ces paroles pouvaient paraitre bien maigre face a la situation presente,mais il sut quoi dire d'autre.
Il cvonnaissais ce sentiment d'impuissance.il l'avais ressenti longtemos avant

Mais,il l'avait sauver elle..

Invité

Mina avait mal. Elle n'aurait pas du parler. Elle allait le regretter. Elle ferma les yeux. en se balançant encore d'avant en arrière.

- Tout ce que je faisais était jamais correcte. J'ai lacher l'école à quatorze ans. Parce que Monsieur voulait que je travaille. Mais je savais faire trois chose. Jouer du piano, dessiner et ce qu'il me faisait faire. Alors, je me suis acheter une fausse carte et j'ai danser nue... Mais c'était pas bien... juste lui avait le droit de me toucher...

Flash Back
"Tu veux te donner aux autres... Jamais tu m'appartiens." Il la frappa violement dans le dos avec un fouet. Il était en train de la pénétrer par l'arrière. Elle le suppliait d'arrêter. Qu'elle ne méritait pas ça.
Fin du Flash Back

- On parle pas de ma mère. Jamais. Ma maman... non... on parle pas d'elle.

Ca lui faisait trop mal. Elle revoyait ses yeux noirs et ses cheveux longs qui tombaient en cascade sur ses cheveux. Elle entendait son rire. Un rire clair et heureux. Celui d'une femme qui voulait vivre. Envers et contre tous.

- Faut pas le dire. On est huit chez moi... faut pas nous séparer...

Il ne fallait pas séparer les jumeaux. Pour eux, elle était près à tout endurer. Même son beau père. Ce demi-père qui l'avait désabuser trop tôt devant la dureté de la vie. Elle avait mal. Jamais. Il ne fallait pas séparer ses frères et soeurs...

Invité

IL fallait qui'il trouve un moyen de garder sa confiance jusqu'au bout,et d'agir pour l'aider elle et ses freres..

-continu a me parler Mina.Te faisait il subit autre chose?dis moi tout,,et tu seras en securite apres ca..

Il voyait bien que se replonger dans les souvenirs la brulait de l'interieur,mais en meme temps il devait tout si il voulait agir encore a tant et dans ;'interet de tous ses enfants en danger.

-Dis moi Mina,il ne faisait du mal qu'a toi dans la maison?c'est important,dis moi tout..

IL chercha son regars et lui lanca un air attendrissant comem pour la pousser a se reveler completement..

-Je te jure Mina,il te referas plus aucun mal,j'y veuillerai,et tu ne seras jamais separes de tes freres,je t'en fais la promesse..

Invité

Il allait le dire. Elle le sentait. Mais elle ne pouvait plus garder le silence. En elle, tout était briser. Jadis, c'était un village merveilleux. Il était illuminer. Aujourd'hui, la lave avait tout détruit.

- Il me battait et il me forcait... il venait et il me touchait... mais je voulais pas... Je veux pas... je dois pas... c'est pas bien.

Elle pleurait à chaude larmes. Elle avait terriblement mal. C'était pour elle l'enfer. None. elle ne parlait plu. Elle venait de décider. plus jamais elle ne dirait quelque chose. Jamais elle ne parlerait de ses enfants à elle. Ceux qui étaient mort avant. Bien avant qu'il naissent. elle ferma les yeux en pleurant

- Il aurait jamais lever la main sur un de ses enfant... j'étais pas de lui...

Elle tourna la chaise roulante comme si elle ne voulait plus le voir et commença à rouler. Elle ne voulait plus lui parler. Elle en avait déjà trop dit.

- J'en ai trop dit. Vous allez nous séparer. Si je dis la suite. Je peux pas la dire. Clairance a besoin de moi. J'ai besoin d'eux. On peux pas nous séparer. Vous comprenez! On peux pas! Personne peux...

Invité

Il sentait tout le mal subit dans ses mots.Elle a connu la pire horreur,et elle preferait continuera le vivre que de devoir separer toue uen famille.Mathys etait desempare.Il connaissais cette douleur en l'ayant vu..en l'ayant deja entendue.

-non Mina,il n'avait pas le droit c'est vrai,mais parfois les grandes personnes se donnent tous les droits,reflechissent pas aux consequences.

Il voulait tant l'aider mais comment?Il ne le pouvait pas,elle meme le desirait pas,car elle savait ce qui 'attendait,ou du moins elle le pressentait..

-STp Mina dis moi tout..je veux t;aider,je suis de ton cote..dis moi tout,je suis pret a tout entendre

Soudain elle lui tourna le dos,et sembla s'en aller

Malgre son envi de faire quelque chose pour elle,il demeura la a rien dire et la regarda lui tourner le dos..

Invité

D'un coup, elle revoyait sa vie. Non. Ce n'était pas vrai. Elle ne voulait pas. C,était de sa faute à elle. C'était elle qui avait fait les mauvais choix. Elle les avaient fait trop souvent alors elle endurait. avec difficulté. Elle avait envie de lui dire.

- Sachez que cette fois-ci, C'était pas lui. C'était un autre. Deux hommes. Deux hommes noirs. C'était pas lui. J'aurais rien pu y faire. Rien. Comme j'ai pas pu rien faire pour ma mère. Comme j'ai rien pu faire pour les enfants que j'aurai pu porter.

Dit-elle avec la voix d'une adultes soudainement. Elle avait du mal à tout replacer dans l'ordre. Elle s'était retourner rapidement. Son regard était celui d'une mère qui ne voulait pas que ses enfants... soit en colère contre elle.

-Mais moi, j'ai sept frère et soeur entre 14 ans et 18 mois à protéger. Ils ont pas plus de mère que moi et un père à temps partiel. Alors, j'ai pas le choix de plus parler. Vous en savez trop déjà. Ce n'est pas moi qui n'a pas envie de le dénoncer. C'est moi qui ne peux pas dénoncer. Parce que,... je suis la seule qui rapporte de l'Argent à la maison.

Elle était une tempête déchainée. Il ne pouvait rien comprendre. Vivre l'inceste quand on est un homme est très différent de quand on est une femme. Quand on est une femme, on peut tomber enceinte. On ne choisit pas. On subit. On avorte. On porte sur notre conscience ces meutres légaux. Si ca avait été son choix. Elle les auraient garder.

Invité

Mathys etait horrifie,et il avait du mal a le cachait.Il grimaca legerement en imaginant la scene dont lui parlait la petite fille.
Comment pouvait on s'en prendre ainsi a une petite fille,a un enfant sans defance,un enfant qui n'etait meme pas le sien.
La cruaute etait immense..

-Cette petite ne le merite pas..pensa t il..

A present il sentait bien qu'il se sentait implique dans son histoire,et la laisser partir sans rien faire,c'etait approuve les actes de tortures subies avant.Il etait en quelque sorte le temoin verbal de cette petite fille.D'un autre cote,impossible de faire quoique ce soit si elle n'etait pas cosentente a etre aider..

-Tu sais Mina,ca se trouve il le fait sur ton petite frere..maintenant qu'il ne t'as plus sous la main dirons nous..Tu ne trouve pas ca injuste toi,que tout le monde dans ta famille subisse la cruaute d'un homme qui n'est pas votre pere?A Toi de reflechir,mais si tu me parle franchement et me laisse faire,non seulement il ne pourra lus vous atteindre,mais je ferais en sorte que vous ne soyez jamais separes je t'en fais la promesse..

Il la regarda lui tourner le dos avec l'espoir qu'elle reagisse.

Invité

La scène lui revient en tête.

Flash Back
Mina était en pyjama. Elle venait de réussir à endormir les deux plus jeune de la famille. Ses yeux étaient cernées. Mais à coté de son lit, les poubelle dégageait une forte odeur de... bien de poubelle et de couche d'enfant. Voici bien un mois que Célia s'était sonnée la mort. Son père n'avait pointer son nez à la maison que quatre fois. Mina avait été sauvagement battue pour avoir pousser sa mère à se donner la mort. La jeune femme était donc sortie en pyjama à l'extérieur. Ses pieds avaient touchée la première neige et un homme l'avait aborder. Elle avait refusée. Un autre l'avait saisit par derrière et avait mis un couteau sur sa gorge.
Fin du Flash Back

Sortez de ma tête!

Avait-elle hurler? Avait-elle penser! Elle voulait oublier! Ne pas se souvenir. Pas de son viol. Les blessures était-la pour lui rappeller et c'était déjà trop. Elle avait mal. Elle ne voulait pas y penser. Elle voulait tout oublier que tout ca soit très loin derrière elle. À nouveau des larmes roulaient sur ses joues. Elle ne voulait pas se souvenir. Tout cela appartenait à un qui était passé.

- Il toucherait pas à Clairance. Je ne veux pas. Il ne peux pas. Il aimait Clairance. Mais Clairance sait se battre. Moi je ressemblait à mère. C'était pour ca qu'il me battait après qu'elle... elle se... elle se soit... tuée... Parce qu'il disait que c'était de ma faute... Il disait qu'il savait que je l'encourageait à le dénoncer. Parce qu'elle savait qu'il me battait et qu'il me touchait. Moi et Clairance on dormait dans la même chambre... presque... Il était témoin de tout... Quand maman.. s'est... ... Il venait me réconforter...

Murmura-t-elle faiblement

Invité

La petite fille avait a present retriouvee son calme et un peu de confiance,il fallait en profiter,sans la brusquer

-Si Mina,il peut recommencer sur n'mporte qui de tes freres ou soeurs,et tu le sais tres bien n'est ce pas?je peux arreter ca,je veux ton accord c'est tout,et je te jure que tu ne seras jamais separee du reste de ta famille,je t'en fais le serment..
A toi de voir si tu veux contiuer ce calvaire et en mourir,parce c'est ca ce qui t'attends,et la tu peux etre sur que ta famille sera separe.Ou bien tu me donne ta confiance,et je te proemt de te donenr satisfaction et tu pourras revoir Clairance autant que tu veux...
Mais je peux t'assurer que la en ce moment,ta famille est en danger,et pas que toi..

Apres ce long monologue,Mathys se releva et appuya que le bouton d l'ascenceur.

-Je ne peux plus rien faire pour elle,elle s'engouffre elle meme tete baissee dans la souffrance et la mort a coup sur! pensa t il

-Juste une derniere chose Mina,yu as dit tout a 'heure que tu voulait qu'qil sorte de ta tete..tu parlais de qui?

Mathys releva la tete,triste d'etre bien inutile..encore une fois..

Invité

Mina eut une brève pensée pour la sereine qu'Elle avait demander à Clairance d'amener pleine d'héroïne... Assez pour la tuer.

- Si vous saviez à quel point la mort ne me fait pas peur. Elle serait pour moi une délivrance. Alors peut-être, je joue avec le feu. Peut-être que je n'ai plus de vivre. Ca vous a pas traverser la tête. Je me fous par moment qu'il souffre. J'ai plus de coeur tellement il a souffert mon coeur. J'en ai marre de me battre contre lui. Il les touchera pas. Il me l'a promis. Il m'a dit que si je le dénonçais, il les toucherait. Clairance vient me voir à tout les jours. Il ne peux rien me cacher. Je le connais par coeur. Jamais Clairance me cacherait ça. Même s'il dit que c'est dans ma tête parce qu'il préfère ca. Même s'il a vue mes plaies et mon sang. Il veut rien dire parce qu'il sait que personne acceptera de prendre une famille de huit enfant avec trois couple de jumeaux de moins de sept ans.

Murmura-t-elle doucement. Elle ne pouvait rien y faire.

- J'ai plus personne qui m'entoure. La seule personne que j'aimais c'est enlever la vie quelques jours avant ma fête. Me laissant seule avec huit enfant et un ivrogne. Alors niveau douleur, je sais de quoi je parle...

des larmes coulaient à nouveaux sur ses joues....

- De mes souvenirs...

dit-elle... Elle était tannée de se battre

Invité

Mathys sentit qu'il avait perdu.IL decida alors de lacher prise et d'abandonner la partie comme un lache.Il ne pouvais plus l'aider.cela lui etait impossible...

-D'accord Mina,j'ai compris.Je declare forfait.Je ne peux rien faire pour toi,tu as raison,tu m'as persuade.
Alors voila MIna,je vais te laisser la,je vais te laisser partir,toute seule.
Mais sache que tout ce que tu m'as dit la ne serait devoile a quiconque,je te promet de garder ca pour moi.Parce que moi je te crois Mina,je te fais confiance.Mais souviens toi que cela a des effets...oui plus d'effets que tu en crois..et ca pourrait etre condamnable..dans les 2 cas.
Alors maintenant aurevoir Mina,et me voila bien desoler pour toi

Puis de maniere mecanique,il appuya sur le bouton pour appeller l'ascenceur..

Invité

Mina le regarda avec de grand yeux. Elle ne voulait pas ça. Elle ne désirait pas ca. Elle se trouva à murmurer de son mieux. Des larmes dans les yeux.

- Non. Ne m'abandonnez pas! Vous pouvez m'aider. Je m'excuse, je ne sais pas pourquoi j'agis comme ça. Mettez vous à ma place. En troisième secondaire, j'ai lacher l'école pour travailler. Comme putain. Je suis plus capable de vivre comme ca. Plus capable. Je passe mes jours à me déshabiller devant des hommes. Je joue de mon corps. C'est mon instrument de musique. Depuis que je peux plus faire de piano. Parce que Monsieur l'a sortie de l'appartement. Je veux un piano et une maison ou je me sens à ma place. Une place ou je pourrais exister tout simplement sans avoir à me battre pour survivre.

C'était sorti comme un cri. D'un coup elle avait ravalé ses larmes. Ses yeux l'imploraient.