quand la journée commence mal (pv Sandra)

Voila encore un nouveau jours qui se léve pour moi..J'entendit mon réveil sonner les 8 h00 comme chaque matin,je m'empressa d'appuyé sur se fichu bouton qui stopperai cette radio ou deux journaliste se moque des politicien ,ha trés dure comme réveille ,je ne suis même pas réveillé et j'entend déja parle politique ,rien de tel pour foutre votre journée en l'air..La politique pour moin c'est comme les poil arriver à un moment on en as plein les fesses XD ...Je me redressa sur mon lit jettant les couverture derriére mon dos ,je passa mes deux mains sur ma figure pour m'aider enfin à ouvrir les yeux..Aprés quelques petites minutes de repit sur le bord de mon lit je me decida enfin à me lever et de prendre la direction de la douche ou mes vêtements propre m'attendent depuis la veille..Je prépara mon essui ainsi que mon gant de toilette avant d'allumer l'eau et me déshabillé.J'entra dans la douche ensuite me mettant en un coup sous l'eau qui était assez chaude ,la chaleur je ne la sent plus vraiment ,a force a travaillé dans les flammes votre corp se fait a cette chaleur ,seule le froid peut encore vous faire ressentir quelque chose..Je m'empressa de me laver et ressorti un quart d'heure plus tard m'essuyant et enfilant de suite mes vêtements..Je descendit les marche deux par deux afin d'être plus vite en bas pour avoir le temps d'avaler mon café..Alors que je me dirigé vers la cuisine j'entendit mon gsm sonner,biensure je me devait de décrocher s'était un appel du centre..Il me fallut que deux second pour enfiler ma veste et courir vers ma voiture prenant ainsi la direction de la caserne..Arrivée sur place c'est enc ourant que je sortit de mon véhicule et me dirigea vers les vestiaire pour enfilé au plus vite mon uniforme..Les lacets de mes chaussures attendront bien que je soit dans le camions pour être fait..Je descendit la rampe pour arrivé plus vite en bas et moin loin du camion..Une fois à l'intérieur je salua mes collégues et fit mes lacets avant avant d'accrocher ma ceinture..Les sirénes en routes et les feux bleu bien voyant le camion pouvait enfin demarrer ..Il nous fallut que dix petite mintues pour rejoindre le lieu du drame..Une maison en flamme a cause d'une bonbonne de gaz mal réglés..Je descendit aprés un de mes collégue et me dirigea vers les tuyau pour les deroulés et les accrochés à la bouche d'eau..Alors que j'aller allumer l'un des tuyau une jeune femme vint a mes côté pleurant assez bien et me disant que son bébé était resté a l'interieur..Je regarda mon collegue qui l'avait lui aussi entendu parler et enfila mon masque avant d'aller affronté les flammes,derriéres moi ,mon ami me crier de ne pas aller ,mais têtu comme je suis je ne l'écouta pas..Je chercha un moyen d'atteindre le sond étages ,casi la totalité s'était éffrondré .Je trouva un passage qui m'ammenna directement a la chambre de l'enfant,pas de bruit si se n'est l'éffrondrement de la maison..Je m'avança alors vers le berceau et aperçut le bébé qui semblait dormir..J'enleva alors mon masque afin de pouvoir donner de l'air a l'enfant avant de le prendre contre moi et de refaire le chemin en sens inverse..Je ne m'attendait biensure pas a se que la route soit bouché..Bien jouer ,me voila bloqué avec un bébé qui est entre la vie et la mort..Je remonta alors a l'étage souffoquant de ne plus avoir assez d'air..je posa deux second l'enfant pour attrapper un petit meuble et le balancer sur la fenêtre avant de mon montré a mes collégues..Dix minutes c'est le temps que mes collégue ont prit pour sortir l'enfant et moi de la..Une fois dehors j'emmenna l'enfant a l'ambulance et y grimpa avec lui..Celle prit la route qui menait a l'hopital le plus proche,cinque minutes aprés nous etions arrivé au SGH ,je descendit gardant toujours l'enfant contre moi ne voulant pas le laisser seul..J'entra dans les urgences et me mit à crié en demandant de l'aide..

-SVP ,un medecin vite!

J'avais dormi seule cette nuit, Owen était encore une fois de garde. Matthéo dormait encore profondémment lorsque je m'étais tant bien que mal levée. Quant à Laura, il me semblait qu'elle m'avait dit la veille qu'elle ne commençait les cours qu'à 10h aujourd'hui. Inutile donc de la réveiller aux aurores. Je me rendis directement à la cuisine où instinctivement j'appuyai sur le bouton on de la cafetière, sortit une tasse du placard que je posai sur la table, avant de me rendre illico presto dans la salle de bains afin de prendre une douche en attendant que mon breuvage préféré coule. Rendement et organisation étaient à présent deux bons amis. Il m'avait fallu apprendre à tout gérer le plus efficacement possible, n'ayant plus la possibilité de perdre une minute d'un temps qui m'était si précieux. J'avais fini par y arriver, j'avais appris. Une douche de 10 minutes suffit à me sortir enfin de ma torpeur. J'enfilai sans plus attendre mon pantalon et mon pull. Je me maquillerai plus tard. Pour l'instant, il me fallait mon café! Tout en déjeunant, je laissai un petit mot doux pour Owen qui ne tarderait pas à rentrer et préparai la table pour Laura. La nounou fit alors son apparition. Elle ne resterait pas longtemps aujourd'hui, juste le temps pour Owen de revenir à la maison. Il était à présent temps pour moi de partir au travail. Mon manteau sur le dos, mon sac à main dans une main et mes cls de voiture dans l'autre, je partis donc vers ma torture quotidienne.

Arrivée sur place, petit manège habituel. Passage par les vestiaires où j'enfilai ma blouse, petit tour en salle de soins pour avoir les dernières nouvelles et enfin direction la salle de staff pour le débriefing de la nuit. Je n'étais assise que depuis 10 minutes lorsque mon bipper sonna. Rapide coup d'oeil, c'étaient les urgences... la journée commençait bien! Laissant mes collègues discuter je pris le téléphone qui se situait dans la pièce et composait le numéro tant redouté. Rapidement, l'interne de service m'expliqua la situation. On venait d'amener un nourrisson victime d'un incendie. Je m'excusai auprès de mes collègues avant de descendre les marches en courant. Arrivée sur place, j'allai demander des renseignements en salle de soins :

"Bonjour... je suis la titulaire en gynéco... vous m'av..."

On ne me laissa pas finir. Me coupant la parole sans même me jeter un coup d'oeil, celle que je pris pour une infirmière me répondit sèchement

"Box 4"

Ok! Très bien! On ne va pas se formaliser hein. Connaissant assez bien l'organisation du service, je me rendis sans difficulté dans le box concerné. Je fus alors surprise d'y voir encore un des pompiers. Un instant, je restai là à le fixer, sans dire un mot. Pourquoi son visage avait-il quelque chose de familier? Je ne l'avais pourtant jamais vu, mais quelque chose m'interpellait sans que je ne sache quoi exactement. Rapidement, je repris mes esprits. Fermant la porte, je m'adressai à lui

"Bonjour...Sandra Martin, gynéco... on m'a bippée... qu'est-ce qu'on a?"

Je continua de crier serrant toujours le bébé contre moi,je ne savait pas quoi faire a part attendre que quelqu'un viennent m'aider..Je regarda un instant l'enfant me demandant se que celui-ci aller devenir,en relevant ma tête j'aperçue une infirmiére et la sentit essayé de predndre l'enfant..Je secoua alors la tête l'empéchant de l'emmenner,je ne pouvais pas le laisser seul parmis tout ses inconnus..La femme me demanda de me rendre dans le box 4 avec l'enfant puisque je ne voulait pas le lacher..Je fit alors se qu'elle me dit de faire et attendit qu'un medecin arrive enfin..Deux infirmiéres ne cessait pas de me regardé essayant de me convaincre de lacher le petit ..Je secoua la tête dans tout les sens le serrant un peut plus contre moi..

-Non..Non je veut un medecin ,un vrai medecin!

Je ne leurs faisait pas vraiment confiance,elle m'avait dit qu'elles allaient pouvoir sauver mon enfant il y a trois ans d'ici ,je leurs ai donner mon bébé et elles me l'ont rendu mort..Non ça ne recommencera pas,pas cette fois.Je ne laisserai pas tué celui-ci même si se n'est pas le mien..Se matin je n'avait pas vraiment eu le temps d'avaler mon traitement,ma double personnalit commencer à faire irruption..Je me mefier de tous ceux qui bouger a mes côtés et me resserra contre le mur gardant le bébé dans mes bras..Je me tourna alors en entendant une nouvelle voie entré dans la piéce,je vit la personne me fixé pendant un petit moment,je ne sait pourquoi mais cette tête me rappeller quelqu'un..Lorsque celle-ci se présenta je savait enfin a qui j'avait à faire,s'était a ma soeur enfin a ma demie soeur qui ne sait même pas qui je suis...Je m'avança vers elle et deposa le bébé dans ses bras en me présentant enfin..

-Je m'appelle David Martin,je suis sapeur pompier..J'ai était chercher le bébé dans les flammes ,il ne respire pas correctement..Sauvez le svp...

Je ne savait pas pourquoi je lui avait donner cet enfant,mais elle m'inspiré un peut plus confiance que les autres personnes présente..Je regarda du coin des yeux les infirmiéres qui devait surement me prendre pour un fou mais je m'en foutait,je ne suis plus moi même en cette instant,je suis juste se second homme qui n'arrive plus à se gerer et qui a vraiment besoin d'entendre que tout va bien se passer..Je recula dans le fond de la piéce regardant la jeune avec les larmes aux yeux..Cet enfant me fait tellement penser au mien que cette situation ne m'aide pas fort à resté calme..Je croisa les bras contre mon torse regardant toujours cette jeune femme faire son boulot..Maman avait oublier de me dire qu'elle ressemblé à papa,parmis plusieurs personne j'aurait put la reconnaitre,certains trait chez elle me faisait penser à lui...

En entendant l'interne des urgences débiter ce qu'il avait préparé au téléphone, je ne m'étais même pas demandé pourquoi il n'avait pas bippé la pédiatrie plutôt que moi. Après tout je n'étais que gynécologue, les bébés je ne m'en occupais guère dans mon travail. Quoiqu'avec le temps et mon amitié avec Arizona et Maria, toutes deux pédiatres, j'avais acquis plus de connaissances dans ce domaines que n'importe lequel de mes collègues. Oui, je ne m'étais pas demandé pourquoi c'était moi que l'on bippait... les urgences avaient souvent tendance à confondre les deux services. J'aurais peut-être dû appeler un de mes confrères plus qualifié avant de courir comme une dératée vers les urgences. Pas grave, je le ferai dès que j'aurai vu de quoi il retournait.

Arrivée sur place, je fus grandement surprise par la présence de ce pompier. Ma réaction ne fut pas des plus polies, je le dévisageai quelques longues secondes de trop avant de me reprendre et de me concentrer sur ce qui m'avait amenée dans cette pièce. Je me retrouvais très rapidement avec l'enfant dans les bras que j'allais poser sur le grand brancard complètement inadapté au petit bout que je tenais. Alors que j'étais encore penché sur le petit, j'entendis très distinctement le nom du jeune homme qui se trouvait avec moi. David Martin. MARTIN. Comme moi! Je devins livide. Je ne connaissais personne de ce nom dans les environs, et ce n'était pas franchement un nom à consonances américaines... Qui était-il pour moi? Non, non, non!! Ce n'était pas le moment pour moi de me perdre dans mes pensées. Je m'extirpai donc de mes conjectures extravagantes pour me focaliser sur le nourrisson qui recourait toute mon attention. Je pris mon stéthoscope qui pendait à mon cou et le plaçait sur la petite poitrine que j'avais sous les yeux. Le petit respirait difficilement, il allait falloir l'intuber. Je relevai la tête en direction du jeune pompier. Je m'étais recomposé un visage neutre, à présnet totalement à mon travail.

"Vous pourriez me passer les ciseaux qui sont juste à côté de vous s'il vous plait?" j'attendis qu'il me les tende "Merci"

D'un geste précis, je découpais le pyjama puis le body du nourrisson afin d'inspecter ses blessures.

"Ca vous dérangerait de rester à côté de lui le temps que je m'habille?... Vous êtes sûr que tout va bien? Vous devriez peut-être vous faire examiner..."

Tout en disant cela, je sortis un élastique de ma poche et m'attachai les cheveux. Puis, m'adressant à une infirmière:

"Trouvez-moi un kit d'intubation pédiatrique et des compresses stériles. Bippez aussi la pédiatrie. Qu'ils descendent avec un lit et qu'ils nous disent si on commence une antibiothérapie préventive. Ah et passez lui 0.15mg de morphine. Ce petit doit vraiment souffrir"

L'infirmière était déjà presuqe sortie de la pièce quand je rajoutai avec un petit sourire

"Oh et merci"

En attendant, je passai la sourblouse qui était déjà accrochée à la paterre puis pris un masque dans l'une des nombreuses boîtes qui recouvraient les étagères du box et enfin enfilait des gants en latex

Je continua de fixé la jeune femme je ne sait pour qu'elle raison,peut être avait je besoin de regardé quelqu'un d'autre que l'enfant qui était occuppé de mourir sur cette table..Se lit paraissait si grand comparé a se petit bout qui n'est agée que de deux mois..Je resta dans mon coin sans bouger essayant de savoir pourquoi ma demie soeur m'avait regardé de travers alors qu'elle ne savait même pas qui j'était puisque je ne m'était pas encore présenté..Je m'avança vers elle en voyant les infirmiéres quitté la salle ,ha ben tant mieux je ne les aiment pas ses femmes ,elles se croivent souvent tout permis elle qu'elle ne sont rien comparé aux chirurgien..Lorsque nous faisont des interventions nous nous faisont souvent rembalé par des infirmiéres c'est peut être dut a ça que je ne les aime pas..L'instant n'est vraiment pas bien choisir pour me prendre la tête..Je commence à ressentir le manque de mon taitement et mon corp s'est mit a tremblé depuis maintenant cinque minutes...Je regarda mes mains sale et ensuite les ciseaux,je ne savait pas si je devait les prendres tout était stériles ici sauf moi et cette enfant..Je prit malgrés tout les ciseau et les tandit a la jeune femme tout en tremblant avant de regardé se qu'elle fit sur le bébé ...Je regarda chaqu'un de ses mouvements me méfiant toujours de tout..Non je ne suis pas fou,juste en manque...Je me mit prés du bébé lorsque celle-ci me le demanda et la regarda faires ses cheveux..

-Non ça me dérange pas..Heu oui oui ça va aller et non je ne veut pas être vue c'est gentil quand même!

Ha non certainement pas,j'irai pas voir de medecins maintenant,dans l'état ou je suis si j'y vait il vont me faire enfermé pensant que je suis fou alors que se n'est pas le cas..Je regarda un moment la jeune femme et souriat doucement en voyant son visage correctement..Elle ressemblé vraiment a se pére que je n'ai jamais vraiment connu..C'est étrange car d'aprés ma mére ,elle me disait que ressemblait fortement à mon pére lorsqu'il avait mon age..Mais etait ce la vérité??Je n'avait encore jamais vue de photo de lui donc je ne saurait le dire...Je la regarda donner ses ordres et ne put m'empecher lorsqu'elle glissa le merci au dernier moment...Je resta pres de l'enfant la regardant toujours malgrés tout,elle va surement se demander pourquoi je m'attarde à la regarder ainsi..Je baissa alors la tête et frotta doucement mon pouce sur la joue du bébé..

-Est ce qu'il va s'en sortir??

Je regarda ma demie soeur attendant réponse de sa part..depuis peu j'avait attrapper des suerus froides,ça m'arrive souvent lorsque j'oublie mon traitement..Ma respiration est à présent plus rapides,je ne sait pourquoi cette double personnalité me bouffe mon air comme ci elle voulait s'emparé de moi à vie..ça peut faire peur mais avec le temps et l'habitudes à part un manque on ne ressent vraiment plus rien...Mes symptômes son ,des tremblements,des bouffées de chaleur suivit par des sueur froides mais aussi un manque d'air qui se fait de plus en plus présent..Je me concentra sur le visage du nourisson pour essayé de penser à autre chose et surtout évité que cet second personnalité face apparition ici..J'évité a présent les regard de ma soeur ,il valait peut être mieux ainsi tout compte fait.

Je regarda le medecin se préparé pour son intervention et resta devant l'enfant caressant toujours sa petite joue avec mon pouce..De voir cette enfant la étendu sur le lit me fait penser à mon enfant décédé trois ans plutôt..Mes symptômes se fit de plus en plus présent,je resta fixé sur l'enfant essayant d'oublier un peut le manque que je ressentait..Les boufées de chaleurs et les sueurs se faisaient bien plus présente,je passa mon bras sur mon front pour l'essuyé puisque celui ci degouliné..Je regarda ensuite la jeune femme me parler et secoua la tête assez vite..Non pas de soin je ne tient vraiment pas avoir de soin..Je prit un tabouret et m'installa dans le fond de la piéce une fois que celle-ci prit place devant l'enfant..Je la regarda un moment dans les yeux avant de lui répondre..Ma réponse pouvait paraître sec et mes paroles saccadés ..

-Je...Je ..Je vais bien je vous dit...Si..Si vous vous occuppé de moi...Ne..Ne le dite à personne!SVP

Je ne tenait pas vraiment a se que mon chef sache se que j'enduré en cette instant,si il venait à être au courant de ma double personnalité ,il me viré sur le champ déja que la j'ai désobéi à ses ordres en allant récupéré cet enfant ,j'ai risqué ma vie mais aussi celle de mes collégues qui ont esssayé de me suivre mais qui ont était coupé dans leurs élans par l'effondrement des escaliers..Heureusement pour moi personne n'a était blessé enfin pas à ma connaissance..Je regarda l'infirmiére arrivé dans la salle avec tout le matériel et resta silencieu pendant un bout de temps regardant le medecin faire..Au moment ou elle intuba l'enfant mes larmes se mise à couler toute seule ,il est si petit ,il ne mérite vraiment pas de mourir maintenant..Je baissa la tête pour évité de voir se genre de choses et évité que les personnes aperçoivent mes larmes que j'essuya assez vite en entendant ma soeur me parler..Je redressa alors la tête vers elle et secoua doucement la tête à sa questions..

-Le..Le papa à était emmenner d'urgence ici et il est mort dans l'ambulance..Je..Je n'ai pas eut de nouvelles de..de la maman..

Oui j'était partit assez vite une fois que j'avait enfin trouvé l'enfant,nous n'avions pas trouver la maman qui était venu me chercher 10 minutes plutôt,nous l'avons attendu mais elle n'est jamais venu..Je ne sait pas vraiment ou elle est passé ,en cet instant j'espére juste que cette enfant n'a pas perdu ses deux parents sinon un vrai cauchemard va commencer pour lui malheureusement.

David avait l'air assez mal en point. Je me retrouvais à présent seule avec un bébé à soigner et probablement un homme d'une trentaine d'années. Moi qui était gynéco! Hormis les femmes je n'y connaissais pas grand chose! Je le laissai suivre mes conseils et s'assoeir, histoire qu'il ne s'évanouisse pas sous mes yeux, mais ne pouvait pas le forcer à se faire examiner.

"Vous avez inhalé de la fumée? Vous devriez peut-être prendre un masque ou des lunettes dans le premier tiroir juste là et le brancher sur l'arrivée d'oxygène, ça vous ferait du bien, le temps que je m'occupe du petit"

Je n'étais pas très rassurée. David me faisait l'effet de quelqu'un qui n'allait pas tarder à s'effondrer. Pourtant, ce qui me dérangeait chez lui eut raison de moi et je me reconcentrai sur le nourrisson, ayant trop peur de découvrir quelque chose que j'aurais préféré ignorer. Nous fûmes rapidement rejoints par l'infirmière et toutes deux nous nous occupâmes un bon moment, laissant le jeune pompier à ses pensées. LOrsque je commençais à panser les brûlures de petit bout qui était allongé devant moi, il me fut beaucoup de courage pour ne pas pleurer. Il ressemblait tant à Matthéo quelques mois auparavant qu'il m'était difficile de me concentrer. Ravalant ma peine, je relevai la tête en direction de David. Seul un petit "Oh" s'échappa de mes lèvres lorsqu'il m'apprit que le papa était décédé.

J'étais encore en train de nettoyer les blessures lorsqu'un pédiatre que je ne connaissais que de vue fit son entrée dans le box. Je lui décrivit brièvement la situation. Il l'ausculta avant de le mettre dans le berceau qu'il avait amené avec lui et m'annonça qu'il l'emmenait en réanimation pédiatrique. Je fus soulagé que ce petit soit enfin pris en charge correctement. Je pouvais à présent m'occuper de David. Toutefois, j'enlevais mon masque et mes gants que je jettait dans la poubelle avant de m'approcher de lui.

"Bon, à nous maintenant. Je vous préviens tout de suite, je suis gynéco, pas urgentiste. Je veux bien vous examiner, mais vous feriez mieux de laisser un de mes collègues vous voir"

Je resta tête baisser un moment essayant de controler ma respiration qui se faisait à présent bien plus rapide que tout à l'heure..Je releva la tête vers ma soeur et écouta se qu'elle me disait..Oui le masque me ferait du bien mais ça ne fera sans doute pas partir la crise de manque que j'ai maintenant mais aussi la crise d'angoisse qui arriver petit par petit..Je secoua ma tête avant de lui répondre..

-Oui j'ai avaler de la fumée..S'était moi..Ou...ou le bébé...Est se que vous avez des calmant??J'ai oublié mon traitement se matin,je souffre d'une double personnalité ,je suis en état de manque ..J'ai besoin de ses calmant..Mais le dite a personne ça va me couter mon boulot..Je ne suis pas quelqu'un de méchant...juste quelqu'un de malade,je vous en prie..

Ho moi elle connaitrai se petit détaille sur moi malgrés le faite qu'elle ne sache toujours pas qui je suis..Je redevint a nouveau silencieu la laissant fairer son travail..Lorsqu'un homme entra dans la piéces je me leva et le devisagea en voyant le petit lit qu'il venait d'apporter,j'entendit Sandra parler avec se dernier et compris que l'enfant partirai dans un autres services..Il ne doit pas rester seul..Le pauvre que va t'il devenir??Je ne sait même pas si je le droit de le suivre ou non,cet enfant n'est pas le mien et pourtant cette histoire ressemble bien à celle que j'ai vecut il y'a peut de temps..Je vit la jeune femme s'approcher de moi et essuya les larmes qui coulaient toutes seule..Ma vision devenait quelque peut troublé mais il fut facile pour moi de savoir qu'on était plus que deux dans la piéces..Le caractére que j'ai en cet instant n'est pas vraiment le mien et me force des fois à dire des choses que je regrette aprés..Je l'écouta me parler et continua de secouer la tête,je suis assez compliqué quand je suis dans cet état..hé non pas question de voir quelqu'un d'autre..

-Non je ne veut pas quelqu'un d'autre..C'est vous que je veut personne d'autre..Votre nom de famille c'est le même que le mien et j'ai la réponse a la question que vous devez sans doute vous posée! Votre pére était mon pére aussi,je ne l'ai casi jamais vue sur ma misérable vie..Cette maladie de double personnalité je la tien de notre arriére grand pére ..je tient tout les génes de cette homme qui nous as menti a tous les deux et qui n'a jamais voulu venir me voir ...j'ai apprit votre existence lorsque j'avait 11 ans..Au départ je ne voulait pas vous voir vous en voulant de m'avoir volé mon pére,et avec les années j'ai apprit qu'en faite le voleur s'était moi!

Hé voila ma seconde personnalité parle a ma place..Comme on peut le voir elle est plus direct que l'autre et ne laisse souvent pas le temps a l'autre de répondre quoi que se soit..je ne sait plus se que je dit et à présent le bon David n'est plus la..Une seule question me reste en tête,comment va t'elle réagir??

Je m'étais levée à reculons ce matin, me préparant à une nouvelle journée de torture. J'adorais mon boulot, il n'y avait rien à dire. Seulement depuis quelques temps, devoir jongler entre l'hôpital et ma famille me pesait de plus en plus. Il m'était de plus en plus difficile de ne voir mon fils que tard les soirs, et mon conjoint de temps en temps, lui aussi étant très occupé. Cela faisait quelques semaines que j'envisageai sérieusement de demander un poste à mi-temps. Il fallait bien-sûr que j'en discute avec Owen, mais cette solution m'apparaissait comme étant la plus évidente. Donc oui, j'étais venue à reculons ce matin. Et je ne m'étais pas attendue à ce que la journée commence aussi mal. Débuter la matinée en soignant un nourrisson brûlé était déjà assez difficile psychologiquement pour la jeune maman que j'étais, il fallait en plus que je me retrouve seule dans une pièce avec un patient de psychiatrie qui avait oublié ses médocs! Super! Ne sahcant pas trop en quoi consistait cette deuxième personnalité dont me parlait David, si elle était plutôt du genre sympathique ou pltutôt parano à tendance serial killer, je me retins de cacher ma peur en me concentrant sur la préparation de mes instruments. Oui j'avais peur. Je ne savais pas qui j'avais en face de moi, et avec ce que j'avais vécu, un gamin pouvait me faire paniquer... alors là. Il avait besoin de ses cachets mais ne voulait pas que l'on soit au courant. Comment allais-je pouvoir lui filer rapidement un anxiolytique sans le laisser seul avec le bébé, mais sans repousser ça aux calendes grecques?

"Je vais essayer de vous trouver ça"

Pas le temps de réfléchir plus, mon infirmière était revenue. Je n'avais plus le choix, il allait falloir le faire patienter. Espérons qu'il tiendrait le coup! Intuber et nettoyer les blessures du petit me prit au moins 20 bonnes minutes pendant lesquelles l'infirmière resta avec nous, indispensable à la survie de ce petit être fragile puisqu'elle le ventilait manuellement. Lorsque le pédiatre fit son apparition, je fus soulagée de le voir. Je me retrouvais enfin seule avec David. David, je haïssais ce prénom qui me rappelait tant de mauvais souvenirs! Etait-ce cela qui me dérangeait tant chez ce jeune pompier? Alors qu'il essuyait des larmes, je m'approchai de lui, plus confiante que ce que je ne l'étais en réalité. J'allais me décider à aller demander des cachets en salle de soins lorsqu'il débita une série de paroles qui s'insinuèrent doucement dans mon cerveau. Je hurlais intérieurement. Ce n'était pas possible! Ma première réaction, instinctive, fut de reculer. Mauvais choix, je me cognais contre le brancard et me faisait mal. J'étais bonne pour avoir des bleus maintenant! J'étais livide. Pas la peine de me voir dans un miroir pour le sentir. Je me sentais mal. Oubliés les cachets, je voulais qu'il retire les mensonges qu'il venait de proférer. J'étais fille unique, papa ne nous aurait jamais fait ça, il aimait trop maman. Ils avaient toujours refusé de me donner un petit frère ou une petite soeur... Je voulais dire quelque chose, j'ouvris la bouche, aucun son n'en sortit, je la refermai. Il me fallut plusieurs tentatives avant que je ne puisse articuler quelques mots

"Je... non... c'est impossible... vous ne pouvez pas... vous n'êtes pas... enfin comment... et"

Il n'y avait rien de compréhensible dans ce que je disais, je m'en rendais compte, mais j'étais tellement choquée. Il fallait que je quitte cette pièce. Un prétexte. Ah oui! ses cachets. Sans un mot je sorti du box pour me rendre à l'infirmerie et prendre différents médicaments. J'essayai de me recomposer un visage avant de retourner dans mon enfer personnel. Brutalement, je lui tendit ce que j'étais allé chercher

"Tenez... vous n'avez qu'à faire votre choix"

Je ne dis plus rien. J'hésitai entre partir et rester pour une explication

Mon esprit devenait de plus en plus prisonnier de mon propre corp,chaque mouvement et chaque geste que je fait maintenant son presque incontrolable,j'ai vraiment besoin de mon traitement mais je comprend assez vite que le petit a besoin de soin avant moi..Je reste alors dans le fond de la piéce assis sur un petit tabouret la tête vers le sol..J'attrappa un des mouchoir qui se trouvé dans ma poche afin d'essuyé mon front qui dégouliné..Les sueur froide était toujours bien présente et l'apparition de vertiges se son integré dans mes symptômes..Tout le longe des soins du gamin j'évita de regardé ma soeur qui le soigner,je ne savait pas de trop se qui aller se passer par la suite,la je me batter contre moi même pour d'essayez de resté le David que je suis..Cette nuit ci je ne me suis pas réveillé pour prendre mon traitement donc l'état de manque est fortement plus présent que d'habitude..Je releva la tête regardant toujours de travers cet homme qui venait de rentré ...J'irai l'enfant plus tard,de toute maniére la je ne servirai à rien grand chose dans l'état ou je suis...Je regarda l'infirmiére remballé ensuite son matériel et quitter la piéces..Alors que la jeune femme se dirigea vers moi pour m'aider je me mit casi à l'agresser..Je m'en voudrait surement d'avoir agit de la sorte..Mais pour m'en vouloi il faudrait déja que je sache se que j'ai dit...Je la regarda alors reculé lorsque je lui apprit la vérité sur notre pére..Elle avait comme perdu,en faite non elle avait exactement la même réaction que j'avait eut il y a 20 ans plus tard...Elle ne pouvait le croire et mon non plus d'ailleurs..Je la regarda quitter la piéce en soupirant me demandant si je n'avait pas était trop loin en lui disant tout ça..J'attrappa mon porte feuille et sortit la seul photo que j'avait de mon pére me tenant à bras lorsque j'avait à peine trois ans...Je me mise à regardé cette derniére et entendit Sandra revenir..Lorsqu'elle me tendit brutalement les médicament j'ai prit celui qui m'interessait le plus,je m'empressa d'en prendre deux cachets et de les avalés..Maintenant il ne restez plus qu'a attendre un petit quart d'heure pour que celui-ci fasse effet..Je releva la tête vers la jeune femme et lui tendit la photo que j'avait dans mes mains..

-Tenez,c'est la seule photo que ma mére à put prendre de lui et moi..Je n'avait que trois ans a se temps la..Le jour de son enterrement j'ai voulu y aller et c'est la que j'ai apprit votre existence..écoutez c'est simple si vous ne voulez pas me voir je m'en vait y'a pas de soucis,je pense que je ne vous manquerez pas puisque vous ne me connaissez pas..Mais croyez moi,je suis vraiment désolé d'être venu au monde ,je croit que j'aurait préféré mourir dans les flammes avec ma femme et mon fils!

Je baissa la tête laissant mes larmes couler en repensant a cette histoire..Les médicament commencer a faire de nouveau effet et je reprenait petit par petit le contrôle de mon corp mais aussi de mon esprit...Mes tremblements diminue eux aussi tous comme les boufées de chaleur..Je recommencer a voir normalement et à sentir une température normal par rapport à tout à l'heure.

Trop occupée avec le petit, je ne cherchais même plus à savoir comment allait David. Il fallait au moins lui reconnaitre ça, même s'il était loin de se sentir bien, il resta calmement dans le fond de la pièce en prenant sur lui. Mais toute cette tension refoulée le temps des soins explosa lorsque je m'approchai de lui. Je ne m'étais pas attendue à ce qu'il me dise cela. J'étais perdue. Toute une partie de mon existence s'écroulait. J'avais beau ne pas avoir vécu dans un environnement aisé, mon enfance avait été heureuse. Et quoi? J'apprenais aujourd'hui que j'avais un frère presque aussi âgé que moi! Que me disaient papa et maman lorsque je les suppliais de faire un autre enfant? Ah oui!

*Nous t'aimons plus que tout ma chérie et toi seule suffit à notre bonheur*

N'avaient-ils pas ajouté aussi par la suite qu'ils ne pouvaient me donner une petite soeur? voulaient-ils parler de problème d'argent ou du fait qu'ils ne pouvaient plus avoir d'enfant? Mes souvenirs étaient flous,sans dessus dessous, j'étais sous le choc. Il m'avait fallu une excuse pour sortir de là, les cachets étaient revenus à mon esprit. Je restai un long moment dans les couloirs des urgences, perdue dans mes pensées. N'avais-je pas eu une drôle d'impression en voyant cette homme pour la première fois? J'avais mis ça sur le compte de son prénom qui me perturbait plus qu'autre chose, mais n'y avait-il pas quelque chose dans ses yeux? Non! Je me faisais des idées juste parce-qu'il prétendait être mon frère. Je n'avais ps de frère. J'étais fille unique. Papa et maman s'aimaient. Il me fallut vraiment prendre sur moi pour retourner dans ce box.

David tenait une photo dans les mains, il me la tendit en m'expliquant qu'elle le montrait avec son père alors qu'il était tout petit. J'étais angoissée. Et s'il avait raison? Si effectivement il était mon demi-frère... cette photo le prouverait. Avais-je vraiment envie de le savoir? Je restai un moment muette, perdue dans mes pensées qui s'entrechoquaient dans ma tête. Je finis par tendre la main, le visage fermé. Devais-je regarder cette photo? Je n'en avais aucune idée. Qui était ce jeune homme pour venir bouleverser ma vie du jour au lendemain? Imperceptiblement, je penchais la tête en avant et posai mes yeux sur la représentation d'un petit garçon dans les bras de son père. Je lachais immédiatement la photo. Ce visage, je l'aurais reconnu entre mille. C'était mon père! Mais il devait y avoir une explication. Il ne pouvait en être autrement. Peut-être mon père tenait-il dans ses bras l'enfant d'un ami? Je me refusais de croire à ce qui se profilait devant moi. Je ne dis rien. Mon visage en disait assez long pour qu'il ne soit pas nécessaire de rajouter des mots. David pleurait, ildisait qu'il préfererait être mort, qu'il ne me manquerait pas puisque je ne le connaissais pas. Je ne pouvais pas le consoler. Je n'étais pas en état moi-même. Enfin, je réussi à articuler quelques mots.

"Je suis désolée... je ne peux pas... pas maintenant, pas aujourd'hui... je... j'ai besoin de plus de temps..."

Oui j'avais besoin de plus de temps. Je ne pouvais avaler ça comme ça. Mes larmes commençaient à perler au coin de mes yeux. Ma réaction n'était peut-être pas la bonne, mais je quittai la pièce pour aller m'enfermer dans mon bureau.